Odieux/ Une vieille femme 112 ans violée et assassinée par l'amant de sa petite fille

Rédigé par Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi le Mercredi 11 Mai 2022 à 20:48 | Lu 258 fois


Un crime odieux a été commis à Niakara( Région du Hambol) dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 mai. Une centenaire de 112 ans a été retrouvée sans vie et toute nue dans la rue de cette localité. Le présumé coupable aurait abusé d'elle jusqu'à ce qu'elle succombe.


Les faits sont rapportés par le service de communication du ministère de la famille, de la femme et de l'enfant. "Le corps d'une vieille de 112 ans , victime de viol, a été découvert sans vie et entièrement dénudé", pouvait on lire. Ce double crime a été commis dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 mai, précisément aux environs de minuit. La pauvre mémé qui n'en pouvait plus de subir les assauts répétés et d'une extrême cruauté de son bourreau du jour, a succombé. Mais comment cela a t il été possible ? Selon des sources concordantes, jointes sur place à Niakara, le mercredi 11 mai, il ressort que F. K.30 ans, se disant pâtissier dans une boulangerie de la place, le présumé coupable, est le petit ami de la petite fille de la mémé. En tout cas, on les voit marcher souvent ensemble. D'ailleurs le jeune passe quelques fois la nuit chez sa copine, sous le regard approbateur et complice de la mémé. Comme on le dit couramment, " on le connait à la maison". Mais, ce samedi 7 mai, FK, flanqué de son ami de quartier, fonce dans un bistrot. L'alcool coule à flot. FK se paye même le culot jusqu'à 3 petites bouteilles de liqueur. Puis il arrose le tout avec la bière. Il est à présent 23 h et la buvette commence à se vider. Complètement grisé par le trop plein d'alcool, les deux lascars décident enfin de rentrer non sans peine. On les voit, épaule contre épaule, zigzaguer sous les réverbères. Mais dans un réflexe de digne chevalier, FK qui retrouve une seconde force, lâche son compagnon au motif qu'il doit passer la nuit chez sa "dulcinée". Le voilà cette fois qui fonce dans la pénombre en direction du quartier où vit sa petite amie. Il est minuit. FK, une fois au portail, tambourine. C'est la mémé qui vient lui ouvrir. Mais point de copine. " Elle est où?", peste FK. Entre temps, l'effet de l'alcool monte, monte. En l'absence de son amante, FK dont le bas ventre brûle d'envie de satisfaire sa libido, jette alors son dévolu sur la pauvre vieille. Malgré l'âge avancé, la mémé lui oppose une farouche résistance. Mais pour combien de temps face ce jeune garçon herculé? Pour la rendre plus docile, FK lui administre plusieurs coups de poings qui lui explosent la tempe et le menton. Et comme si cela ne suffisait pas, il la saisit par le cou et tente de l'étrangler. Quand il finit d'assouvir son acte abject et répand enfin sa sémence, FK constate que la mémé ne bouge plus. En clair, celle ci a déjà rendu l'âme. Mesurant à présent l'extrême gravité de son acte, FK, complètement ensanglanté tente de s'éjecter de la pièce. Mais il tombe nez à nez avec sa copine qui rentre de promenade. C'est cette dernière qui alerte la gendarmerie de la localité. Les éléments de la maréchaussée mettent la main sur le présumé coupable, à son domicile aux environs de 2 heures. Pressé de questions dans les locaux de la brigade, l'homme qui avoue son forfait soutient avoir agi sous l'effet de l'alcool. F.K. ne pouvait il pas se trouver d'autres jeunes filles de son calibre dans cette ville de Niakara,pour assouvir ses bas instincts, au point d'aller défoncer à mort, cette femme qui a le quadruple de son âge? Ce crime pour le moins odieux a manqué de peu d'embraser la ville. Deux communautés ont failli en découdre. Il a fallu les médiations du sous préfet et du commandant de brigade, l'adjudant chef Koffi Eugène, pour éteindre le feu. En tout cas pour certains et les plus nombreux, il s'agit d'un crime rituel que le fallacieux prétexte de l'ivresse ne saurait cacher. En attendant que l'enquête diligentée par la brigade de gendarmerie de la ville ne situe les responsabilités, les commentaires assez pathétiques continuent d'alimenter les débats. En tout cas ce jeune pâtissier risque gros. Pour l'heure, il séjourne à la maison d'arrêt et de correction de Katiola. Norbert Nkaka

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