Du campus de Bouaké aux salons de Bingerville, le Réseau multiplie les rencontres de haut niveau, les formations pratiques et les espaces d’expression pour réveiller ce que la présidente nationale, Isabelle Adon épouse Yao, appelle avec conviction : « le potentiel endormi de la femme africaine ».
À Bouaké : réveiller le leadership, structurer l’impact
Les 2 et 3 juin derniers, l’American Corner de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké a vibré au rythme de la pensée stratégique féminine. Une quarantaine de femmes leaders, entrepreneures et aspirantes ont pris part à une formation de deux jours, placée sous le thème : « Femme Leader & Entrepreneure : Stratégies d’influence et de croissance pour impacter son écosystème ».
Cette session, dense en enseignements, visait à doter les participantes d’outils pratiques en matière de leadership transformationnel, d’influence positive, de mobilisation de ressources et de négociation. Un véritable laboratoire de stratégie pour renforcer l’efficacité des femmes dans leurs sphères d’action.
Pour Pekan Koné, entrepreneure, cette initiative est tombée à point nommé :
« Cette formation a été une vraie bouffée d’oxygène. J’en ressors plus confiante, avec des outils concrets pour structurer mes projets. »
Le formateur principal, le Dr Cédric Motchebong, expert en stratégies d’influence et en financement innovant, a rappelé l’urgence d’un éveil collectif: « Le potentiel des femmes africaines est immense. Le réveiller et le structurer est une condition essentielle à leur autonomisation. »
Quant à Jacqueline N’Guessan Konan, membre du Réseau, elle a lancé un appel fort à la résilience : « Nous avons besoin de femmes mentalement solides, prêtes à affronter les défis de la vie. Se former, c’est se préparer à tenir debout. »
« Cette formation a été une vraie bouffée d’oxygène. J’en ressors plus confiante, avec des outils concrets pour structurer mes projets. »
Le formateur principal, le Dr Cédric Motchebong, expert en stratégies d’influence et en financement innovant, a rappelé l’urgence d’un éveil collectif: « Le potentiel des femmes africaines est immense. Le réveiller et le structurer est une condition essentielle à leur autonomisation. »
Quant à Jacqueline N’Guessan Konan, membre du Réseau, elle a lancé un appel fort à la résilience : « Nous avons besoin de femmes mentalement solides, prêtes à affronter les défis de la vie. Se former, c’est se préparer à tenir debout. »
À Bingerville : cultiver un état d’esprit de puissance
Quelques jours plus tôt, le samedi 31 mai, c’est dans une ambiance conviviale et profondément inspirante que s’est tenue une conférence-brunch à Bingerville, une autre initiative forte du Réseau, réunissant femmes leaders, professionnelles et actrices sociales.
Autour du thème « Développer un mindset de puissance avec ambition et confiance pour une indépendance féminine », les intervenants ont exhorté les femmes à dépasser les limites imposées par la société ou par elles-mêmes.
La présidente, Isabelle Adon, y a livré un message poignant : « Cette volonté sociale ne sera possible que par un changement de mentalité, briser les barrières culturelles, libérer son potentiel par l'extériorisation de ses idées. »
Dr Doffou Marie Chantal, assistante des universités, a insisté sur la connaissance de soi et la clarté de sa mission de vie comme clés de transformation. Dr Cédric Motchebong, de nouveau sollicité, a plaidé pour une vie ancrée dans la positivité, la discipline émotionnelle et l’amour de soi. Quant à Mme Syllah, Directrice du KIDDY’S CENTER, elle a osé défier les peurs paralysantes : « Avancer même quand la peur s’installe. Oser penser grand, c’est le premier acte de changement. »
Autour du thème « Développer un mindset de puissance avec ambition et confiance pour une indépendance féminine », les intervenants ont exhorté les femmes à dépasser les limites imposées par la société ou par elles-mêmes.
La présidente, Isabelle Adon, y a livré un message poignant : « Cette volonté sociale ne sera possible que par un changement de mentalité, briser les barrières culturelles, libérer son potentiel par l'extériorisation de ses idées. »
Dr Doffou Marie Chantal, assistante des universités, a insisté sur la connaissance de soi et la clarté de sa mission de vie comme clés de transformation. Dr Cédric Motchebong, de nouveau sollicité, a plaidé pour une vie ancrée dans la positivité, la discipline émotionnelle et l’amour de soi. Quant à Mme Syllah, Directrice du KIDDY’S CENTER, elle a osé défier les peurs paralysantes : « Avancer même quand la peur s’installe. Oser penser grand, c’est le premier acte de changement. »
Un réseau, une mission, une communauté en marche
À travers ces activités, le Réseau des Femmes Bâtisseuses confirme son ancrage dans le paysage associatif ivoirien comme un acteur stratégique de la transformation sociale. Alliant formation, empowerment et accompagnement, il pose les bases d’une nouvelle génération de femmes indépendantes, audacieuses, conscientes de leur valeur et prêtes à porter le changement dans leurs familles, entreprises et communautés.
Plus qu’un slogan, leur credo est un engagement : « Bâtir avec la tête, le cœur et l’âme pour un leadership féminin transformatif. »
Dans une société en quête de repères et de modèles, ces bâtisseuses ouvrent la voie, tracent des chemins de possibles, et rappellent que le développement de l’Afrique passera inéluctablement par la force de ses femmes.
Plus qu’un slogan, leur credo est un engagement : « Bâtir avec la tête, le cœur et l’âme pour un leadership féminin transformatif. »
Dans une société en quête de repères et de modèles, ces bâtisseuses ouvrent la voie, tracent des chemins de possibles, et rappellent que le développement de l’Afrique passera inéluctablement par la force de ses femmes.