Une première dans l’histoire de la Côte d’ivoire, le directeur générale du Burida a annoncé officiellement la mise en œuvre du décret portant la rémunération de la copie privée et la rémunération pour reproduction par reprographie. Il s’agit de façon claire pour le Burida, de recouvrer des rémunérations sur les outils qui vont servir à copier et a faire la reprographie des œuvres des auteurs. Une décision émanant du chef de l’Etat M, Alassane Ouattara.
Elle vient à point nommer après plusieurs années de plaidoyer et de patience des artiste ivoiriens. « En ce qui concerne la copie privée le 28 avril et pour le décret pour la rémunération de la reprographie le 5 mai. Ce qui fait que dorénavant, le bureau ivoirien des droits d’auteurs est fondé pour le recouvrement de ces différentes prestations sur les outils qui vont servir à faire la reprographie » a déclaré M. Karim Ouattara le DG du Bureau ivoirien des droits d’auteurs ( BURIDDA)
C’est un challenge nouveau pour cette structure puisqu’il s’agira de collecter ces rémunérations pour apporter un plus au quotidien des artistes dans le prise en charge de leurs conditions sociales, sanitaire et leur pension retraite. Les artistes ivoiriens se sont dit satisfaits d ce décret qui viendra redéfinir les cartes dans la distribution des revenus de leurs droits et surtout changer leur conditions de vies assez précaires.
Dès le 1er juin 2022, le Burida et ses partenaires entrerons dans la mise en œuvre de ces redevances lies aux rémunérations par copie privée qui est de 3% et la reproduction par reprographie qui est de 4%. Pour en bénéficier en tant que artiste il faut au préalable être inscrit au bureau ivoirien des droits d’auteurs.
Edithe Valerie N.
Elle vient à point nommer après plusieurs années de plaidoyer et de patience des artiste ivoiriens. « En ce qui concerne la copie privée le 28 avril et pour le décret pour la rémunération de la reprographie le 5 mai. Ce qui fait que dorénavant, le bureau ivoirien des droits d’auteurs est fondé pour le recouvrement de ces différentes prestations sur les outils qui vont servir à faire la reprographie » a déclaré M. Karim Ouattara le DG du Bureau ivoirien des droits d’auteurs ( BURIDDA)
C’est un challenge nouveau pour cette structure puisqu’il s’agira de collecter ces rémunérations pour apporter un plus au quotidien des artistes dans le prise en charge de leurs conditions sociales, sanitaire et leur pension retraite. Les artistes ivoiriens se sont dit satisfaits d ce décret qui viendra redéfinir les cartes dans la distribution des revenus de leurs droits et surtout changer leur conditions de vies assez précaires.
Dès le 1er juin 2022, le Burida et ses partenaires entrerons dans la mise en œuvre de ces redevances lies aux rémunérations par copie privée qui est de 3% et la reproduction par reprographie qui est de 4%. Pour en bénéficier en tant que artiste il faut au préalable être inscrit au bureau ivoirien des droits d’auteurs.
Edithe Valerie N.