Disons-le tout net, ils se trompent sur toute la ligne, et tels des étourdis, ils préfèrent river leur regard sur le doigt qui désigne l'objet en lieu et place de l'objet désigné, souffrant de cette autre forme de strabisme, mais celui-là cérébral.
Non, Mesdames et Messieurs, vous faites fausse route. La réconciliation des Ivoiriens est un besoin et mieux un impératif sans lequel aucun grand pas vers le développement véritable ne peut être posé. La rébellion de 2002, la Crise postélectorale de 2010, la désobéissance civile de 2020 et l'actualité nous y invitent.
Sortons des incantations et des formules de com du genre "les 12 travaux de l'éléphant", "Refondation", "Emergence" et autres. Œuvrons plutôt à l'avènement d'un Nouveau Contrat Social entre les Ivoiriens et tous ceux qui ont fait de ce beau pays leur seconde patrie.
Oui, il faut recoudre le tissu social mis en lambeaux par les Timoniers aux mains tremblotantes qui n'ont pas eu et qui n'ont toujours pas d'ambitions fortes pour leur peuple. Il y va de notre présent malade et surtout du futur radieux de nos progénitures. Dans ce monde à l'image d'une jungle, les faibles sont assurés d'être dévorés par les plus forts, par ceux qui auront réussi à regarder dans la même direction, dans la bonne direction.
Qu'on l'appelle "Conférence Nationale" comme pour être dans une certaine mode des années 90, ou qu'on l'appelle "Les Etats Généraux de la République" comme pour puiser dans le plus profond de l'histoire de nos ancêtres les Gaulois et des démocraties avancées, il y a nécessité d'un inventaire qui conduirait à un nouveau départ fécondant.
Demander la réconciliation et ses implications n'est donc pas tendre l'obole, c'est plutôt énoncer un projet gagnant/gagnant pour la stabilité du pays au-delà des intérêts de chapelles. C'est une démarche de bon sens pleine de sagesse.
Ceux qui sont frappés de strabisme pourraient-ils guérir de leur mal ?
Souhaitons-le même si nous restons convaincus qu'il y a peu de chance que leur logiciel soit capable de traiter l'équation.
Quant à la bonne graine, elle y travaille, parce que persuadée que le sous-développement ne relève pas de la fatalité mais plutôt de la faiblesse mentale.
Gnêrèwolloh
Non, Mesdames et Messieurs, vous faites fausse route. La réconciliation des Ivoiriens est un besoin et mieux un impératif sans lequel aucun grand pas vers le développement véritable ne peut être posé. La rébellion de 2002, la Crise postélectorale de 2010, la désobéissance civile de 2020 et l'actualité nous y invitent.
Sortons des incantations et des formules de com du genre "les 12 travaux de l'éléphant", "Refondation", "Emergence" et autres. Œuvrons plutôt à l'avènement d'un Nouveau Contrat Social entre les Ivoiriens et tous ceux qui ont fait de ce beau pays leur seconde patrie.
Oui, il faut recoudre le tissu social mis en lambeaux par les Timoniers aux mains tremblotantes qui n'ont pas eu et qui n'ont toujours pas d'ambitions fortes pour leur peuple. Il y va de notre présent malade et surtout du futur radieux de nos progénitures. Dans ce monde à l'image d'une jungle, les faibles sont assurés d'être dévorés par les plus forts, par ceux qui auront réussi à regarder dans la même direction, dans la bonne direction.
Qu'on l'appelle "Conférence Nationale" comme pour être dans une certaine mode des années 90, ou qu'on l'appelle "Les Etats Généraux de la République" comme pour puiser dans le plus profond de l'histoire de nos ancêtres les Gaulois et des démocraties avancées, il y a nécessité d'un inventaire qui conduirait à un nouveau départ fécondant.
Demander la réconciliation et ses implications n'est donc pas tendre l'obole, c'est plutôt énoncer un projet gagnant/gagnant pour la stabilité du pays au-delà des intérêts de chapelles. C'est une démarche de bon sens pleine de sagesse.
Ceux qui sont frappés de strabisme pourraient-ils guérir de leur mal ?
Souhaitons-le même si nous restons convaincus qu'il y a peu de chance que leur logiciel soit capable de traiter l'équation.
Quant à la bonne graine, elle y travaille, parce que persuadée que le sous-développement ne relève pas de la fatalité mais plutôt de la faiblesse mentale.
Gnêrèwolloh