Henri Konan Bedie, Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara
Disons le tout net, le tableau politique et social que présentent ces presque trente dernières années de l'ère post Félix Houphouët Boigny n'est pas du tout reluisant, il est même fortement Anxiogène.
En effet, tout observateur lucide reconnaîtra que depuis le décès de l'orfèvre Félix Houphouët Boigny en 1993, avec ce sens aigu qu'il avait de la Cohésion sociale, du Vivre ensemble, la Côte d'ivoire est à la croisée des chemins du fait des errements des Timoniers des temps nouveaux, aux mains tremblotantes. Que de misères et de gâchis!
Félix Houphouët Boigny, en dépit des déchets que charrie toute entreprise humaine, avait réussi à organiser un fécond brassage entre la mosaïque des ethnies du pays, préparant du coup le terreau fertile à une relative prospérité.
Oui aucun de ses successeurs n'a pu poursuivre l'œuvre ou relever le permanent défi de la cohésion sociale et du développement équilibré. De Henry Konan Bédié à Allassane Ouattara en passant par Gbagbo Laurent, la gouvernance s'est égarée dans les faiblesses et manquements de tous genres, plongeant le pays dans une longue zone de turbulences.
En effet, tout observateur lucide reconnaîtra que depuis le décès de l'orfèvre Félix Houphouët Boigny en 1993, avec ce sens aigu qu'il avait de la Cohésion sociale, du Vivre ensemble, la Côte d'ivoire est à la croisée des chemins du fait des errements des Timoniers des temps nouveaux, aux mains tremblotantes. Que de misères et de gâchis!
Félix Houphouët Boigny, en dépit des déchets que charrie toute entreprise humaine, avait réussi à organiser un fécond brassage entre la mosaïque des ethnies du pays, préparant du coup le terreau fertile à une relative prospérité.
Oui aucun de ses successeurs n'a pu poursuivre l'œuvre ou relever le permanent défi de la cohésion sociale et du développement équilibré. De Henry Konan Bédié à Allassane Ouattara en passant par Gbagbo Laurent, la gouvernance s'est égarée dans les faiblesses et manquements de tous genres, plongeant le pays dans une longue zone de turbulences.
Félix_Houphouët-Boigny
On a beau chercher dans la gouvernance de ses trois Présidents la marque de Chef d'Etat, au sens de celui qui doit protéger et faire prospérer chaque citoyen ivoirien, nulle part on ne trouve une once de ce prestige.
Le premier a fait de l'ostracisme sa marque déposée, le deuxième le populisme et le troisième le clanisme. Le maniement des concepts classiques de Démocratie et de Paix n'étant que leurre.
Notons en passant que le premier et le troisième se rejoignent à bien des égards, l'ostracisme et le clanisme conduisant au Tribalisme. L'un et l'autre ayant pris en otages avec leur consentement, les populations du Centre et du Nord, faisant d'elles des électeurs captifs. Il y a t-il une fierté à n'être soutenu que par les siens au sens primitif et grégaire du terme ?
Toujours en passant, le deuxième à gaver les populations de concepts Panafricanistes et Souverainistes bien vides. Quid de ce tigre qui ne cesse de clamer sa "tigritude" ?
Il faudra bien en sortir si nous voulons sauver ce pays des affres de la division et du sous-développement.
Donc, Echec et mat pour ces derniers qui furent incapables de voler aux Dieux de la politique, le feu permettant la transformation mentale et ensuite matérielle du quotidien des Ivoiriens. Oui le défi lancé par la nature à toutes les Nations, est celui de la qualité de la vie des populations, allant du respect de nos droits fondamentaux à l'aspiration à l'épanouissement. A ce titre, sous les ailes des gouvernants dignes de ce nom, toute chose devrait prospérer.
N'ayant pas le droit de céder à la déprime et au désespoir, nos regards sont désormais tournés vers de fiers fils et filles de ce pays, parce que de la bonne graine on en trouve dans nos principaux Partis. Elles auraient germé depuis longtemps et faire bénéficier au pays de leurs talents n'eût été l'égo surdimensionné des "Timoniers " aux mains tremblotantes.
Nous ne citerons pas de noms et nous n'afficherons pas de photos parce qu'ils sont là, partageant notre quotidien et se battant contre vents et marées pour faire passer leurs idées. Ils démontrent tous les jours à travers leurs traces, qu'ils ne sont ni du Nord, ni du Sud, ni de l'Est, ni de l'Ouest et ni du Centre. Ils sont simplement des citoyens ivoiriens rêvant de faire partager leurs projets et offres politiques. Ni plus, ni moins.
Eux, bien qu'objets de coups tordus, ont les manches fermes et sauront tenir avec assurance la barre.
Comme les trompettes de Josué, ils parviendrons à fissurer la muraille de Jéricho et réussiront à démanteler les Tribus assiégées et autres forteresses d'aliénation.
Eux, leaders modernes aux idées novatrices, veulent mordre à pleines dents dans les défis des grandes Nations, entre autres élever leur peuple à des étapes supérieures de conscience.
Eux, nous les connaissons et nous les reconnaitrons. N'est-il pas dit que " le peuple reconnaît toujours les siens " ?
Avec eux, nous y arriverons en dépit d'une météo des plus maussades.
Gnêrèwolloh
Le premier a fait de l'ostracisme sa marque déposée, le deuxième le populisme et le troisième le clanisme. Le maniement des concepts classiques de Démocratie et de Paix n'étant que leurre.
Notons en passant que le premier et le troisième se rejoignent à bien des égards, l'ostracisme et le clanisme conduisant au Tribalisme. L'un et l'autre ayant pris en otages avec leur consentement, les populations du Centre et du Nord, faisant d'elles des électeurs captifs. Il y a t-il une fierté à n'être soutenu que par les siens au sens primitif et grégaire du terme ?
Toujours en passant, le deuxième à gaver les populations de concepts Panafricanistes et Souverainistes bien vides. Quid de ce tigre qui ne cesse de clamer sa "tigritude" ?
Il faudra bien en sortir si nous voulons sauver ce pays des affres de la division et du sous-développement.
Donc, Echec et mat pour ces derniers qui furent incapables de voler aux Dieux de la politique, le feu permettant la transformation mentale et ensuite matérielle du quotidien des Ivoiriens. Oui le défi lancé par la nature à toutes les Nations, est celui de la qualité de la vie des populations, allant du respect de nos droits fondamentaux à l'aspiration à l'épanouissement. A ce titre, sous les ailes des gouvernants dignes de ce nom, toute chose devrait prospérer.
N'ayant pas le droit de céder à la déprime et au désespoir, nos regards sont désormais tournés vers de fiers fils et filles de ce pays, parce que de la bonne graine on en trouve dans nos principaux Partis. Elles auraient germé depuis longtemps et faire bénéficier au pays de leurs talents n'eût été l'égo surdimensionné des "Timoniers " aux mains tremblotantes.
Nous ne citerons pas de noms et nous n'afficherons pas de photos parce qu'ils sont là, partageant notre quotidien et se battant contre vents et marées pour faire passer leurs idées. Ils démontrent tous les jours à travers leurs traces, qu'ils ne sont ni du Nord, ni du Sud, ni de l'Est, ni de l'Ouest et ni du Centre. Ils sont simplement des citoyens ivoiriens rêvant de faire partager leurs projets et offres politiques. Ni plus, ni moins.
Eux, bien qu'objets de coups tordus, ont les manches fermes et sauront tenir avec assurance la barre.
Comme les trompettes de Josué, ils parviendrons à fissurer la muraille de Jéricho et réussiront à démanteler les Tribus assiégées et autres forteresses d'aliénation.
Eux, leaders modernes aux idées novatrices, veulent mordre à pleines dents dans les défis des grandes Nations, entre autres élever leur peuple à des étapes supérieures de conscience.
Eux, nous les connaissons et nous les reconnaitrons. N'est-il pas dit que " le peuple reconnaît toujours les siens " ?
Avec eux, nous y arriverons en dépit d'une météo des plus maussades.
Gnêrèwolloh