Ph:DR Une prostituée tue un garçon
Les rapports indiquent que l'adolescent a profité de l'absence de sa mère pour louer les services d’une prostituée dans une boite de nuit. Néanmoins, le garçon de 14 ans n'a pas payé les services, ce qui a amené la prostituée à attaquer son "client" pour avoir enfreint leur accord.
Au cours de l'attaque, le garçon de 14 ans a subi un grave coup à la tête qui a entraîné sa mort prématurée. Dans une interview accordée à la publication quotidienne H-Metro, un témoin a raconté l'incident en disant que le mineur n'avait pas payé la prostituée et que cela avait mis le vendeur de cuisses en colère.
"Ce jeune homme est allé dans une boîte de nuit où il a rencontré une dame qu'il a ramenée chez lui." Il a emmené la dame chez lui parce que sa mère n'était pas là ; le garçon n'a pas pu payer les services de la dame, ce qui a alors provoqué la colère de la dame. Lorsqu'il n'a pas payé, la dame a frappé le jeune homme à la tête, et il est mort, et en s'en rendant compte, la dame l'a recouvert d'une couverture", a déclaré le témoin.
Ph:DR Des prostituées
La police a également confirmé l'incident dans un communiqué disant qu'elle enquêtait sur l'affaire et communiquerait au public toute information concernant le crime odieux. Le porte-parole de la police nationale, connu sous le nom de commissaire adjoint Paul Nyathi, au cours de sa confirmation, a révélé avoir trouvé le mineur mort et recouvert d'une couverture au domicile de sa mère.
"Nous enquêtons sur une affaire impliquant un mineur de 14 ans qui a été retrouvé mort après s'être engagé avec une dame de la nuit alors que sa mère n'était pas là", a déclaré le commissaire adjoint Nyathi. "Nous devons encore connaître les circonstances de ce qui s'est réellement passé", a déclaré Paul Nyathi.
"Nous enquêtons sur une affaire impliquant un mineur de 14 ans qui a été retrouvé mort après s'être engagé avec une dame de la nuit alors que sa mère n'était pas là", a déclaré le commissaire adjoint Nyathi. "Nous devons encore connaître les circonstances de ce qui s'est réellement passé", a déclaré Paul Nyathi.
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