Grande mobilisation et Salle comble
Dès 15h (heure de Paris), le public qui voulait être aux premières loges avait pris d’assaut le parvis du Zénith de Paris villette, sous une fine pluie, en attendant l’heure d’ouverture des guichets et portes de la salle du concert à 16h.
C’est au final, une salle archicomble qui a accueilli le duo Eric et Clemso Patrons, qui a communié avec son public, accompagné de son orchestre venu spécialement d’Abidjan, aux alentours de 20h (heure de Paris).
On notera également la forte présence de la grande famille des artistes Zouglou, depuis les fondateurs Opoku N’ti et Bilé Didier, aux anciens comme Maga Dindin, Allan Bill de Souza et Zio Omer, etc. en passant par les plus en vogue actuellement comme Petit Denis, Yodé et Siro, Magic System. Présence fortement remarquée de la star mondiale du Reggae Tiken Jah Fakoly, de l’artiste François Kensy et enfin de l'ambassadeur ivoirien en France, Maurice Bandama.
Ils ont assuré le show… mais pas que !
Les Patrons ont fait plaisir à leurs fans quant aux mélodies qu’ils ont égrainées de leur répertoire. C’est d’ailleurs, l’une des rares fois qu’un concert zouglou à Paris s’est joué en live, avec un peu plus de deux heures d’horloge, non-stop. Tant, le public parisien est habitué à voir des concerts lives de moins d’une heure.
Les patrons ont fait vraiment le show.
Une scène qui ne pouvait pas passer sous silence n’a pas manqué de surprendre plus d’un. En l’entame de la première chanson du concert, Éric Patron arrête de chanter et va s’agenouiller dans le coin gauche du podium. Il est rejoint aussitôt par Clemso Patron, puis Serge Fatoh et les organisateurs. L’animateur Serge Fatoh reprend le micro pour rassurer. Yodé et Siro lui emboitent le pas pour tenir le public en haleine.
Wow ! Éric Patron pleure en plein concert au Zénith de Paris ! Que dis-je, des pleurs d’émotion !
Le Zénith venait ainsi de marquer, extraordinairement, à jamais la vie de ce groupe Zouglou qui fêtait pour la même occasion ses 20 années de carrière musicale. Ce Zénith-là, mérite bien d’être appelé « mythique salle de concert ».
Encouragé, entouré des organisateurs, soutenu par la grande famille Zouglou ivoirienne, dont A’Salfo, le lead vocal du groupe Les Patrons a pu retrouver ses esprits. Quelle solidarité !
Cet épisode fut comme une sorte d’exorcisme qui a permis de libérer toutes les énergies et permettre par la suite au public de vibrer aux sons endiablés de leurs artistes.
Plusieurs autres artistes ont fourni la première partie bien avant que Les Patrons ne montent sur scène.
Les organisateurs de ce concert qui ont eu le mérite de l’ambition d’une telle salle d’un peu plus de 6000 places sont a salué également, non sans remarquer quelques balbutiements observés dans l’organisation qu’on mettra sur le compte du premier coup d’essai.
Les Patrons ont fait plaisir à leurs fans quant aux mélodies qu’ils ont égrainées de leur répertoire. C’est d’ailleurs, l’une des rares fois qu’un concert zouglou à Paris s’est joué en live, avec un peu plus de deux heures d’horloge, non-stop. Tant, le public parisien est habitué à voir des concerts lives de moins d’une heure.
Les patrons ont fait vraiment le show.
Une scène qui ne pouvait pas passer sous silence n’a pas manqué de surprendre plus d’un. En l’entame de la première chanson du concert, Éric Patron arrête de chanter et va s’agenouiller dans le coin gauche du podium. Il est rejoint aussitôt par Clemso Patron, puis Serge Fatoh et les organisateurs. L’animateur Serge Fatoh reprend le micro pour rassurer. Yodé et Siro lui emboitent le pas pour tenir le public en haleine.
Wow ! Éric Patron pleure en plein concert au Zénith de Paris ! Que dis-je, des pleurs d’émotion !
Le Zénith venait ainsi de marquer, extraordinairement, à jamais la vie de ce groupe Zouglou qui fêtait pour la même occasion ses 20 années de carrière musicale. Ce Zénith-là, mérite bien d’être appelé « mythique salle de concert ».
Encouragé, entouré des organisateurs, soutenu par la grande famille Zouglou ivoirienne, dont A’Salfo, le lead vocal du groupe Les Patrons a pu retrouver ses esprits. Quelle solidarité !
Cet épisode fut comme une sorte d’exorcisme qui a permis de libérer toutes les énergies et permettre par la suite au public de vibrer aux sons endiablés de leurs artistes.
Plusieurs autres artistes ont fourni la première partie bien avant que Les Patrons ne montent sur scène.
Les organisateurs de ce concert qui ont eu le mérite de l’ambition d’une telle salle d’un peu plus de 6000 places sont a salué également, non sans remarquer quelques balbutiements observés dans l’organisation qu’on mettra sur le compte du premier coup d’essai.