Parmi ces panels, l’un a particulièrement attiré l’attention de la jeunesse : « Comment porter des projets banquables ». Ce mercredi 13 août 2025, le centre culturel de Divo a accueilli les échanges entre deux experts, Gnahoré Onil, artiste chorégraphe et professeur d’arts vivants au ministère de la Culture et de la Francophonie, et Monsieur Diakité Allassane, directeur de société et parrain de la 15ᵉ édition du festival.
Concevoir et rendre un projet finançable
Concevoir et rendre un projet finançable
Les participants ont été guidés sur les étapes essentielles pour concevoir un projet porteur et le rendre apte au financement. Gnahoré Onil a partagé son expérience dans le domaine culturel, soulignant les défis rencontrés par les acteurs culturels vivant hors d’Abidjan :
« Ils n'ont pas toujours accès aux mêmes informations que ceux de la capitale. C’est pourquoi je les encourage à se former et à chercher l’information par eux-mêmes », a-t-il expliqué.
Monsieur Diakité Allassane, quant à lui, a insisté sur l’importance de la planification et de la persévérance. Fondateur du projet Maison de Cacao, il a expliqué que ce projet avait été mûri dès 2018, après plusieurs années de réflexion et de préparation depuis 2016. L’usine de transformation a officiellement ouvert ses portes le 2 août 2025.
« Ils n'ont pas toujours accès aux mêmes informations que ceux de la capitale. C’est pourquoi je les encourage à se former et à chercher l’information par eux-mêmes », a-t-il expliqué.
Monsieur Diakité Allassane, quant à lui, a insisté sur l’importance de la planification et de la persévérance. Fondateur du projet Maison de Cacao, il a expliqué que ce projet avait été mûri dès 2018, après plusieurs années de réflexion et de préparation depuis 2016. L’usine de transformation a officiellement ouvert ses portes le 2 août 2025.
« Beaucoup de jeunes de Divo ont du talent. Mais un rêve sans plan reste juste un rêve. Pour qu’un projet soit banquable, il faut une démarche claire qui rassure les banques et les investisseurs », a-t-il conseillé.
Il a également insisté sur la crédibilité et la présentation personnelle :
« En Afrique, l’apparence compte beaucoup. Une mauvaise présentation peut empêcher l’obtention de financements, même si le projet est solide. »
Il a également insisté sur la crédibilité et la présentation personnelle :
« En Afrique, l’apparence compte beaucoup. Une mauvaise présentation peut empêcher l’obtention de financements, même si le projet est solide. »
Au-delà de la fête : un festival formateur
Le commissaire général du Djaka Festival, Alexandre Drama, a salué la disponibilité des panelistes et la participation active des jeunes :
« Djaka Festival n’est pas qu’un lieu de fête. Il appelle à la réflexion intellectuelle, à la production scientifique et surtout à la formation, comme ce fut le cas lors de ce panel », a-t-il déclaré.
Des échanges fructueux entre panelistes et participants ont permis aux jeunes d’obtenir des conseils concrets sur la conception de projets financiers viables, tout en renforçant leur motivation et leur confiance en leurs capacités entrepreneuriales.
Le Djaka Festival 2025 confirme ainsi son rôle d’espace de promotion culturelle et de développement personnel, alliant célébration et apprentissage pour la jeunesse de Divo.
« Djaka Festival n’est pas qu’un lieu de fête. Il appelle à la réflexion intellectuelle, à la production scientifique et surtout à la formation, comme ce fut le cas lors de ce panel », a-t-il déclaré.
Des échanges fructueux entre panelistes et participants ont permis aux jeunes d’obtenir des conseils concrets sur la conception de projets financiers viables, tout en renforçant leur motivation et leur confiance en leurs capacités entrepreneuriales.
Le Djaka Festival 2025 confirme ainsi son rôle d’espace de promotion culturelle et de développement personnel, alliant célébration et apprentissage pour la jeunesse de Divo.
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