Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi | 20/12/2024 | 350 vues
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Seconde Une
Le village de Kahen, dans le canton Zarabaon ( départ de Bangolo) est sous les eaux depuis le vendredi 27 septembre suite à une violente averse. On dénombre plusieurs sinistrés. Selon Oulaï Jean Marc, un planteur originaire du village, ce sont environ 40 habitations qui sont englouties par les eaux. " Dans la nuit du vendredi, le ruisseau qui borde le quartier" Cedeao " a commencé à monter à une allure folle. Nous n'avons pu rien sauver à part quelques habits" a-t-il confié au correspondant d'abidjan4all.net.
Expliquant les raisons de cette montée des eaux, notre interlocuteur a confié qu'elle est le résultat des fortes pluies qui s'abattent sur le district autonome des montagnes. " Depuis le mois de mars, il pleut de fortes pluies à l'ouest. Les populations qui n'ont jamais connu de crue en ce lieu ont été surprises par la montée de la rivière N'zo non loin de là", a expliqué Oulaï Jean Marc. Les populations qui ont fui leurs habitations ont trouvé refuge chez des parents proches et des âmes de bonne volonté, espérant retourner à leurs domiciles une fois le retrait des eaux. Plusieurs élèves sont à présent dans le désarroi total parce qu'ayant perdu tous leurs manuels. Ces sinistrés attendent un geste de la part du gouvernement.
Osmose Kahiga ( correspondant régional)
Dimanche 29 Septembre 2024
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La tension est palpable actuellement dans le village de Guigouiné , localité située dans la sous-préfecture de Boguiné (Man). Depuis le mardi 24 septembre, deux groupes de villageois entretiennent un conflit ouvert. Une victime est déjà enregistrée.
Selon des sources recueillies sur place par le correspondant de abidjan4all.net, cet affrontement fait suite à la découverte du corps sans vie de Gueu Jocelyn, dans son campement. Des sources sécuritaires indiquent que le mardi 24 septembre, Gueu Jocelyn se serait rendu dans son campement situé à quelques encablures de son village natal pour des travaux champêtres. Mais ce dernier ne serait pas rentré au village ce jour là. Des villageois inquiets partis à sa recherche le retrouvent mort et portant une grosse entaille à la gorge. Il a été probablement assassiné. Mais par qui ? C'est la grosse interrogation. Pour un groupe de villageois, ce crime porte bien la marque d'un groupe d'allogènes, voisins du défunt. Aussitôt, la famille du défunt, aidée d'autres villageois, engagent des représailles contre ces derniers qu'ils soupçonnent d'être les auteurs de cette barbarie. Alertés, des éléments de la brigade de gendarmerie de Logoualé et de Man se rendent promptement dans ce village d'environs 1000 âmes. Les forces de la gendarmerie parviennent à ramener le calme. Le sous-préfet de Boguiné dont dépend également Guinguiné, se rend également sur les lieux pour toucher du doigt la réalité et tenter une médiation avec protagonistes visiblement prêts à en découdre. Dans la journée du mercredi 25 septembre, c'était une véritable chasse à l'homme entre des villageois furieux. Certains ont même dû abandonner leurs campements de peur d'être pris pour cible. C'était la stupeur généralisée. Mais le 4e vice-président du conseil régional du Tonkpi, Ouehi Mela qui a également effectué le déplacement de Guigouiné, a pu parler aux deux communautés en conflit. Un calme précaire règne dans le village. Toujours selon nos sources, un problème foncier serait à l'origine de ce conflit.
Osmose Kahiga ( Correspondant régional)
L'opération de déguerpissement de la forêt classée de Bouaflé déclenchée avec une grande vigueur le 17 septembre est désormais suspendue. La décision a été prise par le ministre des Eaux et forêts le samedi 21 septembre à l'issue d'une rencontre tenue à Bonon avec les populations sinistrées et les autorités administratives.

L'équipe de abidjan4all.net, dans sa livraison du vendredi 20 septembre, avait attiré l'attention des nombreux lecteurs sur les effets collatéraux de la descente musclée des forces militaires dans la forêt classée de Bouaflé, le mardi 17 septembre aux environs de 3 heures. Au cours de cette descente punitive, plusieurs familles de planteurs ont été surprises nuitamment par des coups de fusils, intimant de vider les lieux. Les maisons, les greniers sont pillés, des animaux domestiques sont emportés ou tués sur place. Dans la débandade plusieurs parmi eux ainsi que de nombreux enfants de sont retrouvés, après de longues heures de marches, à Bonon où certains ont pu trouver refuge chez des bonnes volonté. Ils sont des milliers d'enfants sans arbis qui ont trouvé refuge dans les lieux de culte. C'est dans cette ambiance catastrophique que le ministre des Eaux et forêts des Eaux et forêts fait suspendre l'opération. L'opération de déguerpissement de la forêt classée de Bouaflé déclenchée avec une grande vigueur le 17 septembre est désormais suspendue. La décision a été prise par le ministre des Eaux et forêts le samedi 21 septembre à l'issue d'une rencontre tenue à Bonon. L'équipe de abidjan4all.net, dans sa livraison du vendredi 20 septembre, avait attiré l'attention des nombreux lecteurs sur les effets collatéraux de la descente musclée des forces militaires dans la forêt classée de Bouaflé, le mardi 17 septembre aux environs de 3 heures. Au cours de cette descente punitives, plusieurs familles de planteurs ont été surpris nuitamment par des coups de fusils, intimant de vider les lieux. Les maisons, les greniers sont pillés, des animaux domestiques sont emportés ou tués sur place. Dans la débandade plusieurs parmi eux ainsi que de nombreux enfants de sont retrouvés, après de longues heures de marches, à Bonon où certains ont pu trouver refuge chez des bonnes volonté. Ils sont des milliers d'enfants sans arbis qui ont trouvé refuge dans les lieux de culte. C'est dans cette ambiance catastrophique que le ministre des Eaux et forêts

Le samedi 21 septembre en effet, le ministre Tchagba Laurent, à travers des visites des sites des déguerpis et autres témoignages émouvants, a pu toucher du doigt, les risques de catastrophes humanitaires de cette opération menée sur fond d'humiliation par les hommes en treillis. Aussi les cas des nombreux écoliers livrés de force à la rue, ont profondément ému le ministre Tchagba Laurent. Ce dernier a cru utile et nécessaire de suspendre l'opération. Selon le rapport sincère du préfet du département de Bonon, Yapi N'Gou, 12 campements sur les 42 de cette forêt classée, vaste de plus de 20 mille hectares, ont été déguerpis. Reste encore 30 campements, soit une population estimée à 50 mille âmes encore dans la forêt classée. Toujours à en croire les sources, un compromis est trouvé pour que les populations restantes quittent volontairement les lieux.
Norbert NKaka
Le jeudi 19 septembre 2024, l'hôtel Silver Moon à Abidjan a accueilli un atelier décisif pour l'avenir de la filière fruits et légumes en Côte d'Ivoire. Cet événement s’inscrit dans la seconde phase d’un projet de normalisation des produits vivriers financé par le Fonds Fiduciaire 2 du Codex Alimentarius. La Côte d'Ivoire, à travers l'organisme CODINORM, cherche à transcrire les normes internationales du Codex en normes nationales, avec un accent particulier sur des produits phares tels que la mangue, l’avocat, le gingembre, le piment et le fruit de la passion.
L'objectif principal de cet atelier était de renforcer les capacités des 45 participants, dont 30 acteurs de la filière fruits et légumes et 15 membres du Comité National du Codex Alimentarius. Les participants ont reçu un module de formation, incluant des études de cas et des documents techniques. Le cadre de la normalisation repose sur des références internationales telles que les normes CEE-ONU FFV-42 pour les avocats, CXS 197 pour la mangue, CXS 218 pour le gingembre, entre autres. Ces normes sont appliquées selon des décrets et lois ivoiriens, comme la loi n° 2013-866 relative à la normalisation et à la promotion de la qualité.
Importance de la transformation locale
La transformation locale des produits agricoles en Côte d'Ivoire est perçue comme une solution stratégique face aux pertes post-récoltes. Mme Coulibaly Tenedja Ramata, directrice des Cultures Vivrières et de la Sécurité Alimentaire, et point focal Codex, a insisté sur la nécessité de vulgariser ces normes auprès des agro-transformateurs. Selon elle, cet effort permettra non seulement de garantir la qualité des produits sur le marché local, mais aussi de préparer les producteurs à l’exportation.
La transformation locale des produits agricoles en Côte d'Ivoire est perçue comme une solution stratégique face aux pertes post-récoltes. Mme Coulibaly Tenedja Ramata, directrice des Cultures Vivrières et de la Sécurité Alimentaire, et point focal Codex, a insisté sur la nécessité de vulgariser ces normes auprès des agro-transformateurs. Selon elle, cet effort permettra non seulement de garantir la qualité des produits sur le marché local, mais aussi de préparer les producteurs à l’exportation.
Des participants outillés aux normes
Les participants à cet atelier ont souligné l'importance d'une normalisation rigoureuse pour améliorer la compétitivité des produits ivoiriens sur les marchés internationaux. Yves Aka, président de la Fédération Nationale des Associations de Consommateurs de Côte d'Ivoire (FACCI), souligne que le respect des normes est essentiel pour garantir des produits de qualité aux consommateurs. Il explique: . Il explique : "je suis venu à cet atelier de formation sur les normes, parce que je constate que tous ce que les agro-transformateurs, produisent, tout ce qu'ils mettent sur le marché, tout ce qu'ils commercialisent, c'est pour le consommateur. Et donc, si les produits ne respectent pas les normes, surtout les normes d'application obligatoires que le CODEX nous a donné aujourd'hui, c'est que la Côte d’Ivoire a sur le marché des produits qui ne sont pas compétitifs. Selon lui, il est important pour nos producteurs d'être compétitif en respectant les normes. Quand le produit respecte les normes, ça veut dire que ce sont des produits de bonne qualité.
Pour tous ces Agro transformateurs, à cet atelier c’est le satisfecit total. Ils sont désormais booster pour de nouveaux défis dans leur démarche de transformation, celui de se conformer aux normes et affronter avec sérénité le marché extérieur. L'atelier a donc suscité des réactions positives parmi les participants.
Patricia Ehouman, agro-transformatrice spécialisée dans les produits à base de noix de cajou, s'est dite confortée dans sa démarche qualité après avoir suivi cette formation. Elle estime que la normalisation ouvre la voie à de nouvelles opportunités, tant sur le marché local qu'international.
« Pour moi, cette formation qu'on vient de faire sur le Codex Alimentarius, en particulier pour les normes sur les mangues, le gingembre, et ainsi de suite, ça me conforte dans la démarche dans laquelle je me suis inscrite, qui est, après avoir eu quelques distinctions, des médailles d'or pour l'originalité de mes produits, je me suis inscrite dans une démarche qualité. Et là, cette formation vient me dire que oui, c'est une voie à suivre, c'est une démarche à poursuivre, et qu'on a un marché local qu'on se doit de protéger en mettant sur ce marché là des produits qui correspondent à la norme de la Côte d'Ivoire. »
Les participants à cet atelier ont souligné l'importance d'une normalisation rigoureuse pour améliorer la compétitivité des produits ivoiriens sur les marchés internationaux. Yves Aka, président de la Fédération Nationale des Associations de Consommateurs de Côte d'Ivoire (FACCI), souligne que le respect des normes est essentiel pour garantir des produits de qualité aux consommateurs. Il explique: . Il explique : "je suis venu à cet atelier de formation sur les normes, parce que je constate que tous ce que les agro-transformateurs, produisent, tout ce qu'ils mettent sur le marché, tout ce qu'ils commercialisent, c'est pour le consommateur. Et donc, si les produits ne respectent pas les normes, surtout les normes d'application obligatoires que le CODEX nous a donné aujourd'hui, c'est que la Côte d’Ivoire a sur le marché des produits qui ne sont pas compétitifs. Selon lui, il est important pour nos producteurs d'être compétitif en respectant les normes. Quand le produit respecte les normes, ça veut dire que ce sont des produits de bonne qualité.
Pour tous ces Agro transformateurs, à cet atelier c’est le satisfecit total. Ils sont désormais booster pour de nouveaux défis dans leur démarche de transformation, celui de se conformer aux normes et affronter avec sérénité le marché extérieur. L'atelier a donc suscité des réactions positives parmi les participants.
Patricia Ehouman, agro-transformatrice spécialisée dans les produits à base de noix de cajou, s'est dite confortée dans sa démarche qualité après avoir suivi cette formation. Elle estime que la normalisation ouvre la voie à de nouvelles opportunités, tant sur le marché local qu'international.
« Pour moi, cette formation qu'on vient de faire sur le Codex Alimentarius, en particulier pour les normes sur les mangues, le gingembre, et ainsi de suite, ça me conforte dans la démarche dans laquelle je me suis inscrite, qui est, après avoir eu quelques distinctions, des médailles d'or pour l'originalité de mes produits, je me suis inscrite dans une démarche qualité. Et là, cette formation vient me dire que oui, c'est une voie à suivre, c'est une démarche à poursuivre, et qu'on a un marché local qu'on se doit de protéger en mettant sur ce marché là des produits qui correspondent à la norme de la Côte d'Ivoire. »
Mme Coulibaly Alimata, présidente des femmes agro-transformatrices de Côte d'Ivoire, a également exprimé sa satisfaction. Elle a rappelé l'importance de la qualité dans la transformation des produits agricoles et s'est engagée à sensibiliser ses consœurs à l'application des normes pour garantir la sécurité des consommateurs.
"Vous avez remarqué avec moi que les produits transformés, même les produits bruts, sont de plus en plus présents sur les grandes surfaces de distribution. Quelles sont les conditions? Quelles sont les nouvelles normes? Comment faire pour que nous puissions être encore plus présents avec nos produits, pouvoir référencer encore plus de produits locaux bruts et transformés dans ces rayons de grande renommée, les grandes surfaces de distribution des firmes étrangères qui se sont installées dans notre pays et qui ont accepté de faire le référencement de nos produits.
Il faut être à la hauteur, ne pas décevoir et cette formation nous a apporté un plus. Nous ferons en sorte que nous soyons de plus en plus performants pour ne pas décevoir la population, pour ne pas décevoir ceux, les distributeurs qui nous ont fait confiance et ont accepté de prendre nos produits dans les rayons des supermarchés"
Il faut être à la hauteur, ne pas décevoir et cette formation nous a apporté un plus. Nous ferons en sorte que nous soyons de plus en plus performants pour ne pas décevoir la population, pour ne pas décevoir ceux, les distributeurs qui nous ont fait confiance et ont accepté de prendre nos produits dans les rayons des supermarchés"
Les enjeux de la normalisation
La production et la commercialisation des fruits et légumes en Côte d'Ivoire sont confrontées à de nombreux défis, allant des contraintes climatiques aux problèmes d'enclavement des zones de production. Le respect des normes, tant pour la production que pour la transformation, est donc un enjeu crucial pour assurer la compétitivité des produits ivoiriens, tant au niveau local qu'international.
Le Professeur Ardjouma Dembélé, président du Comité National du Codex Alimentarius, a annoncé la mise en place d’un comité technique pour échanger sur les normes et poursuivre les formations. Selon lui, ce comité sera essentiel pour l'élaboration de normes adaptées à la réalité ivoirienne.
La production et la commercialisation des fruits et légumes en Côte d'Ivoire sont confrontées à de nombreux défis, allant des contraintes climatiques aux problèmes d'enclavement des zones de production. Le respect des normes, tant pour la production que pour la transformation, est donc un enjeu crucial pour assurer la compétitivité des produits ivoiriens, tant au niveau local qu'international.
Le Professeur Ardjouma Dembélé, président du Comité National du Codex Alimentarius, a annoncé la mise en place d’un comité technique pour échanger sur les normes et poursuivre les formations. Selon lui, ce comité sera essentiel pour l'élaboration de normes adaptées à la réalité ivoirienne.
Perspectives et défis
Si l’atelier du 19 septembre 2024 a permis d'outiller les acteurs de la filière fruits et légumes, il ne représente qu'une première étape. Mme Coulibaly Tenedja Ramata a souligné la nécessité d’accompagner les participants formés pour garantir l'implémentation des normes sur le terrain.
Christiane Mouroufié, cheffe du département Appui aux Entreprises à CODINORM, a quant à elle évoqué l’harmonisation des normes au niveau sous-régional, un processus en cours qui permettra de renforcer la compétitivité des produits ivoiriens dans la zone de libre-échange africaine. "« Pour le moment, on n'a pas encore travaillé sur l'harmonisation des fruits et légumes. Ça veut dire que chaque pays, de la sous-région a sa norme. Mais, généralement, nous faisons l'effort de nous aligner sur les normes Codex qui sont internationales. » Nous a-t-elle précisé.
Au niveau de la sous-région, plusieurs produits ont déjà été harmonisés, il s’agit de l’Attiéké, des bouillons culinaires, de la farine, des céréales infantiles pour ne citer que ceux –là.
La vision du CODINORM ici est d'accompagner toutes les entreprises, qu'elles soient moyennes, petites, grandes. Non seulement à adhérer au concept de normalisation, parce qu'on ne peut rien faire sans normes, mais aussi de les emmener à être certifiées, à faire les choses de manière correcte, à ce que le produit réponde aux exigences des consommateurs et soit compétitif au niveau international.
Si l’atelier du 19 septembre 2024 a permis d'outiller les acteurs de la filière fruits et légumes, il ne représente qu'une première étape. Mme Coulibaly Tenedja Ramata a souligné la nécessité d’accompagner les participants formés pour garantir l'implémentation des normes sur le terrain.
Christiane Mouroufié, cheffe du département Appui aux Entreprises à CODINORM, a quant à elle évoqué l’harmonisation des normes au niveau sous-régional, un processus en cours qui permettra de renforcer la compétitivité des produits ivoiriens dans la zone de libre-échange africaine. "« Pour le moment, on n'a pas encore travaillé sur l'harmonisation des fruits et légumes. Ça veut dire que chaque pays, de la sous-région a sa norme. Mais, généralement, nous faisons l'effort de nous aligner sur les normes Codex qui sont internationales. » Nous a-t-elle précisé.
Au niveau de la sous-région, plusieurs produits ont déjà été harmonisés, il s’agit de l’Attiéké, des bouillons culinaires, de la farine, des céréales infantiles pour ne citer que ceux –là.
La vision du CODINORM ici est d'accompagner toutes les entreprises, qu'elles soient moyennes, petites, grandes. Non seulement à adhérer au concept de normalisation, parce qu'on ne peut rien faire sans normes, mais aussi de les emmener à être certifiées, à faire les choses de manière correcte, à ce que le produit réponde aux exigences des consommateurs et soit compétitif au niveau international.
Une évaluation a été faite aux participants afin de mesurer l’efficacité de la formation et l’atteinte des objectifs préalablement définis. Également, une séance de partage d’expériencesa eu lieu, les agro transformateurs présents ont exposé sur leur produit auprès de leurs pairs. Et l’assistance n’a pas manqué de découvrir le génie du label Côte d’Ivoire porté par ces transformateurs. Noix de cajou, sous toutes ses déclinaisons, banane plantin, et autres ignames en frites, poivre blanc et gingembre, ail, piment en ce qui concerne les assaisonnements culinaires tous des produits agro-transformés made in Côte d’Ivoire et que l’on retrouve sur le marché local.
Le Président du Comité Codex Alimentarius dans son mot de fin après avoir remercié les participants et les formateurs de cet atelier a souligné l'engouement soutenu sur cinq normes importantes pour cette spéculation en voie libérale qui sont l'avocat, l'amande, le piment frais, les ingénieurs et le fruit de la passion. « Au terme de notre activité de formation, nous pouvons en résumer sans hésiter, et j'aimerais souligner les objectifs pour aider l'agriculteur par rapport à l'importance, la facilitation, la magnitude que donnent les normes par rapport à ces cinq spéculations, notamment par rapport à la certification, par rapport à la sécurité sanitaire et la sécurité du consommateur et enfin la facilitation de l'accès au marché qui peut nous offrir l'opportunité de l'application de cette norme. Je ne pourrai terminer mes propos sans remercier et féliciter les participants qui ont très activement animé, contribué à l'organisation et à l'optimisation de cette formation. » at- il déclaré.
Edithe Valerie Nguekam
Les habitants du quartier Alepe -Village Extension sont en émoi. Ils s'interrogent encore difficilement sur ce qui est arrivé à D.B, un quinquagénaire mort brutalement dans un kiosque après avoir pris son petit déjeuner. Ce drame s'est produit dans la matinée du 18 septembre.

Selon plusieurs sources, ce jour là, D.B, se rend dans un kiosque à café pour un petit déjeuner. D'ailleurs, chaque matin, c'est dans ce lieu qu'il prend son petit déj' avant de continuer au boulot. En tout cas rien ne présageait un drame aussi rocambolesque. Son repas servi, il le prend tout en dévisant avec les voisinages. Mais au moment où l'homme prend congé de ses amis, il est subitement pris d'un malaise. Il se tord de douleurs abdominales. Les minutes qui suivent, il s'allonge sur le dos, sa tête entre les mains. Son épouse qui tombe sur la triste scène tente de le remonter, juste le temps de le conduire dans un centre de santé. Malheureusement, au fil des minutes, cette douleur devient de plus en plus intense. D.B est inconscient. Son épouse et des bonnes volontés alertent finalement les pompiers civils du centre de protection civile d'Alépé. Ceux-ci arrivés promptement lui apportent les premiers secours avant de l'évacuer aux urgences de l'hôpital général d'Alépé. Mais, malgré la prise en charge rapide des praticiens de la santé, rien n'y fit. D.B rend l'âme. La nouvelle de sa mort fait vite le tour de la ville. Les commentaires vont bon train avec une seule interrogation. De quoi est mort D. B.? La police informée a ouvert une enquête qui nous permet de savoir ce qui a bien pu arriver à DB arraché brutalement à l'affection des riverains du quartier Extension où il a passé toute sa vie.

Norbert NKaka ( Info : BV)
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