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Seconde Une

La mort a frappé dans la grande famille éducative. Un éducateur en service à Buyo est mort électrocuté dans son village à Zakroguhé (département d'Issia). L'homme tentait de dégager les bambous posés contre sa maison en construction quand il a reçu la décharge mortelle. C'était le jeudi 12 juin aux environs de 13 heures.


L'imprudence a des conséquences tragiques
L'imprudence a des conséquences tragiques
Selon un membre de la famille qui relate les faits tragiques, ce jeudi 12 juin, c'est sous un soleil radieux que le village se réveille après une légère pluie tombée au petit matin. En tout cas rien ne présageait un malheur qui pouvait plonger les populations dans la consternation. Car contrairement aux autres jours où les pluies tombaient drues, ce jeudi 12 juin est particulièrement ensoleillé malgré quelques foyers de nuages isolés dans le ciel. Un temps propice aux travaux champêtres comme de ménage. Yoh Koré Marius, éducateur dans un collège à Buyo, en vacances dans son village à Zakroguhé, village situé dans la sous préfecture de Tapéguia, peut profiter de ce temps radieux pour donner un coup d'accélérateur aux travaux de construction de sa maison, bloqués depuis un moment, en raison des intempéries. Pour ce faire, il fait appel au maître d'ouvrages qui n'hésite pas à se présenter. Le maçon devrait faire les travaux de crépissage. Tout se passe bien jusque-là et rien n'indiquait que la mort rodait là.

L'éducateur Yoh Koré Marius est mort électrocuté dans son village.
L'éducateur Yoh Koré Marius est mort électrocuté dans son village.
Mais pendant l'exécution de l'ouvrage, le jeune éducateur constate qu'un tas de bambous accrochés au mur non loin des fils de courant qui jouxtent le bâtiment, empêchant au maçon d'accomplir efficacement son travail. L'éducateur s'exerce alors à donner un coup de main en essayant de dégager ces bambous encombrants. Malheur ! L'homme est aussitôt projeté par une décharge électrique qui lui sera fatale. Les bambous mouillés en contact avec les fils électriques ne lui laissent aucune chance. Yoh Koré Marius estt électrocuté. Il est 13 heures. C'est la stupeur totale car la nouvelle fait le tour du village. Les pleurs fusent de partout. Encore agonisant, des secours croyant pouvoir le sauver font vite de le conduire à l'hôpital. Car sait on jamais! Malheureusement, dans le centre sanitaire, son décès est constaté. La gendarmerie informée se déporte aussitôt pour le constat d'usage avant d'ouvrir une enquête. Comment comprendre cette mort brutale du jeune éducateur venu justement au village pour achever sa maison familiale ? Malheureusement il part à jamais sans pouvoir habiter cette maison pour laquelle il a englouti sa petite économie. Simple accident ou mystère ? C'est ce qui alimente les nombreux commentaires.

Norbert Nkaka


Vendredi 13 Juin 2025 | Commentaires (0)

Un tragique incident a bouleversé les habitants de Bouna dans la matinée du mardi 10 juin. Aux alentours de 9 heures, un homme âgé de 52 ans, identifié sous les initiales M. I., a poignardé une jeune fille au marché central de la ville avant de prendre la fuite et se donner la mort en se jetant dans un puits situé dans la cour d'une mosquée.


Le meurtrier s'est jeté dans ce puits
Le meurtrier s'est jeté dans ce puits
L’incident s’est produit aux alentours de 9 heures au marché central de Bouna. Selon les témoignages recueillis sur place, M. I., un homme présenté comme souffrant de troubles mentaux par plusieurs sources locales, a violemment agressé une jeune fille à l’aide d’un couteau. La victime, prise par surprise, n’a pu éviter les coups portés par l’agresseur, qui a ensuite rapidement pris la fuite. Des témoins choqués par la brutalité de l’acte ont immédiatement donné l’alerte, tandis qu’un groupe de jeunes s’est lancé à la poursuite de l’homme. La traque s’est poursuivie à travers les ruelles du quartier Coulibalisso, non loin du marché. C’est dans la cour de la mosquée du quartier que M. I. a trouvé refuge. Pensant qu’il avait escaladé la clôture pour fuir de l’autre côté, ses poursuivants ont ratissé les environs sans succès. Ce n’est que plusieurs heures plus tard qu’un jeune habitant du quartier a signalé qu’une personne aurait chuté dans le puits de la mosquée. L’alerte a immédiatement mobilisé les forces de sécurité et les secours.

Drame à Bouna/Un homme poignarde une jeune fille et se suicide en se jetant dans un puits
Une équipe de la police nationale, accompagnée d’éléments de l’Office national de la protection civile (ONPC) et de volontaires de la Croix-Rouge locale, s’est rendue sur les lieux. Après avoir sécurisé la zone, les secouristes ont procédé à l’extraction du corps du puits. L’homme retrouvé sans vie a été formellement identifié par ses parents comme étant M. I., l’auteur de l’agression survenue plus tôt dans la matinée. Son corps a été transporté à la morgue de l’hôpital général de Bouna pour les procédures médico-légales. La jeune fille poignardée a quant à elle été rapidement prise en charge par les services de santé. Elle a été évacuée vers l’hôpital général de Bouna où elle reçoit des soins. Son état de santé n’a pas encore été officiellement communiqué. Face à ce drame, les autorités locales ont ouvert une enquête afin de mieux comprendre les circonstances de l’agression ainsi que les motivations de l’auteur. La thèse d’un déséquilibre mental est évoquée, mais les investigations devront le confirmer. Ce fait divers tragique a profondément choqué les habitants de Bouna, qui restent bouleversés par la violence de l’acte et la fin tragique de son auteur.

Norbert Nkaka ( Info : DMT à Bouna)


Jeudi 12 Juin 2025 | Commentaires (0)

Un tragique incident a bouleversé les habitants de Bouna dans la matinée du mardi 10 juin. Aux alentours de 9 heures, un homme âgé de 52 ans, identifié sous les initiales M. I., a poignardé une jeune fille au marché central de la ville avant de prendre la fuite et se donner la mort en se jetant dans un puits situé dans la cour d'une mosquée.


*Une attaque soudaine au marché central* L’incident s’est produit aux alentours de 9 heures au marché central de Bouna. Selon les témoignages recueillis sur place, M. I., un homme présenté comme souffrant de troubles mentaux par plusieurs sources locales, a violemment agressé une jeune fille à l’aide d’un couteau. La victime, prise par surprise, n’a pu éviter les coups portés par l’agresseur, qui a ensuite rapidement pris la fuite. Des témoins choqués par la brutalité de l’acte ont immédiatement donné l’alerte, tandis qu’un groupe de jeunes s’est lancé à la poursuite de l’homme. *Une fuite qui s’achève dans un puits* La traque s’est poursuivie à travers les ruelles du quartier Coulibalisso, non loin du marché. C’est dans la cour de la mosquée du quartier que M. I. a trouvé refuge. Pensant qu’il avait escaladé la clôture pour fuir de l’autre côté, ses poursuivants ont ratissé les environs sans succès. Ce n’est que plusieurs heures plus tard qu’un jeune habitant du quartier a signalé qu’une personne aurait chuté dans le puits de la mosquée. L’alerte a immédiatement mobilisé les forces de sécurité et les secours. *Intervention des secours et découverte macabre* Une équipe de la police nationale, accompagnée d’éléments de l’Office national de la protection civile (ONPC) et de volontaires de la Croix-Rouge locale, s’est rendue sur les lieux. Après avoir sécurisé la zone, les secouristes ont procédé à l’extraction du corps du puits. L’homme retrouvé sans vie a été formellement identifié par ses parents comme étant M. I., l’auteur de l’agression survenue plus tôt dans la matinée. Son corps a été transporté à la morgue de l’hôpital général de Bouna pour les procédures médico-légales. *La victime évacuée à l’hôpital* La jeune fille poignardée a quant à elle été rapidement prise en charge par les services de santé. Elle a été évacuée vers l’hôpital général de Bouna où elle reçoit des soins. Son état de santé n’a pas encore été officiellement communiqué. *Une enquête ouverte* Face à ce drame, les autorités locales ont ouvert une enquête afin de mieux comprendre les circonstances de l’agression ainsi que les motivations de l’auteur. La thèse d’un déséquilibre mental est évoquée, mais les investigations devront le confirmer. Ce fait divers tragique a profondément choqué les habitants de Bouna, qui restent bouleversés par la violence de l’acte et la fin tragique de son auteur. *DMT*


Jeudi 12 Juin 2025 | Commentaires (0)

Une scène d'horreur s'est produite à Man, précisément au quartier Gbapleu, le dimanche 8 juin. Un jeune coiffeur en furie s'est saisi d'une hache pour briser la tête de son père, le tuant net. Tout ça pour un bol de riz.


C'est avec cette hache que T. E. a mis fin à la vie de son géniteur
C'est avec cette hache que T. E. a mis fin à la vie de son géniteur
" Tu honoreras ton père et ta mère ", dit la Sainte Bible. Ce message biblique, T.E. 25 ans, coiffeur de son état l'ignore certainement. Sinon comment comprendre qu'un être humain, en possession de ses facultés mentales, puisse lever la glaive contre son propre géniteur, pire, lui ôter la vie de manière horrible ? T. E., lui, a réussi ce pari funeste de soulever une hache et fracasser de façon magistrale et avec une précision cartésienne, la tête de son propre père. Téméraire ou forcené ! Tout lui va ! Mais dans ce village- quartier populeux de Grand Gbapleu, posté à l'entrée de la ville de Man, l'image de ce crime crapuleux et abjecte continue de remuer la conscience des populations. " Du jamais vu ! Du jamais vu ! ", on entend rouspeter dans le périmètre où gisait le corps sans vie, le corps de Tokpa Benoît, un père âgé de 69 ans. Le corps était complètement maculé. Mais que s'est il passé pour que l'irréparable se produise ? Selon des informations très sourcées, un repas était à l'origine de ce crime sordide. Ainsi que le rapporte le confrère de man-info.net, le jeune coiffeur une fois rentré à la maison, tombe à pic sur le repas de son père. Il tente alors de le rejoindre pour partager le plat. " Mais le père lui oppose un refus catégorique, au motif que c'est lui qui devait assurer plutôt la popote, surtout qu'il exerce un job. Car à son âge avancé, ce n'est pas lui qui doit continuer à le nourrir", rapporte notre informateur. Mais au lieu de faire l'âne pour avoir le fouin, T. E. avale plutôt les remarques désobligeantes de son père, de travers. Devenu fou furieux, il réplique violemment en traitant son géniteur de tous les mauvais noms. "Tu es trop méchant, un père sans coeur. Je ne suis rien à tes yeux. J'ai de savoir que tu es mon père...", lui lance T. E. avec des propos du genre, " Tout va finir un jour ". Il s'ensuit alors une violente altercation entre le père et le fils. Mais au moment où les voisinages accourent pour les séparer, on voit T. E. qui s'empare de la hache qui traînait dans la cour et.. Pan! Pan ! Le coup part. Les violents coups portés au crâne du géniteur ne lui laissent aucune chance. Il s'écroule! Le sang gicle et se répand partout. Mais T.E. habité par une rage dont lui seul connaît l'origine, sort cette fois un couteau et le plante à plusieurs endroits du corps déjà froid de son père. Le père meurt sur le coup. T. E reprend ses sens et tente de fuir. Mais il est très vite rattrapé par les voisinages qui manquent de peu de lui faire subir une " Vendetta ".

La police alertée se déporte sur les lieux. Interpellé, T. E. reconnaît les faits portés à sa charge. Selon d'ailleurs des témoins, T. E. aurait agi sous l'effet des stupéfiants. Le commissaire de police, N'Da Ahoussi reste ferme. " C'est un acte grave. Nous avons transmis le dossier au parquet pour que justice soit rendue". Les armes du crime ont été scellées. Le corps sans vie de Tokpa Benoît a été enlevé et conservé à la morgue de la ville. En tout cas T. E risque la prison à vie pour ce parricide commis à cause d'un plat de riz.

Norbert Nkaka (Source : man-info.net)


Mercredi 11 Juin 2025 | Commentaires (0)

Les enseignants de l'Université Alassane Ouattara de Bouaké, se réclamant du Sagec, sont en grève. Ils ont suspendu les cours et autres formations académiques, ce mardi 10 juin. Plusieurs revendications non satisfaites seraient à l'origine de cet arrêt de travail.


Enseignement Supérieur/ Les cours suspendus à l'université Alassane Ouattara de Bouaké
Selon en effet, le secrétaire général du SAGEC, Dr Koba Louis Marius, joint par le confrère igbêkê.com qui livre l'information, ce mouvement d'humeur qui pourrait toucher plusieurs autres UFR de Côte d'Ivoire serait consécutif à l’inaction prolongée du gouvernement face à des revendications jugées légitimes. Il s'agit entre autres de la mise en place d’un statut particulier propre à l’enseignement supérieur, de la délivrance de passeports diplomatiques pour tous les enseignants-chercheurs afin de faciliter leur participation à des conférences et projets internationaux, une réforme équitable et transparente du système de promotion, une augmentation de la prime de recherche, actuellement jugée insuffisante au regard des standards du CAMES, une réévaluation salariale adaptée aux charges et responsabilités des enseignants-chercheurs et la création d’une allocation annuelle de 2 millions de FCFA par enseignant-chercheur pour soutenir la recherche scientifique.

Malheureusement, toutes ces revendications déposées depuis lors par la faîtière des enseignants chercheurs sur la table des premiers responsables du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, sont restées lettre morte. "Un courrier officiel a été adressé au ministre, mais il est resté sans réponse", déplore Dr Koba qui précise que cet arrêt de travail prend fin le jeudi 12 juin 2025 sur toute l’étendue du territoire national. Nul doute que si ces revendications n'ont pas connu une promesse d'exécution, les enseignants durciront le ton. Une grève illimitée n'est donc pas à exclure. Une situation qui en rajoute un peu plus au climat politique très délétère en ce moment, suite à la radiation des grandes figures de l'opposition sur la liste électorale. Des soulèvements populaires au Pdci et au Ppa-Ci sont même annoncés dans les jours à venir.

Norbert Nkaka( source : igbeke.com)


Mardi 10 Juin 2025 | Commentaires (0)
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CAN 2023 : Stade de la paix de Bouaké
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