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Seconde Une

Un commerçant a été sauvagement agressé à l'arme blanche, le jeudi 3 octobre par un dangereux malfaiteur, lui arrachant son sac contenant la somme de 2 millions de F. La gendarmerie informée a mis le grappin sur l'individu, 24 heures plus tard.


Bangolo/ Il arrache un sac contenant 2 millions de F à un commerçant.  Ce que fait la gendarmerie.
La brigade de gendarmerie de Bangolo vient de réussir un beau coup de filet . Elle vient de mettre fin aux activités criminelles d'un des animateurs de la pègre. Il s'agit de Yao Anicet. Ce dernier avait arraché récemment une importante somme d'argent à un commerçant. Le jeudi 03 octobre, le jour des faits, un commerçant portant les initiales de B. D. se rend à Bléniminhouin, une sous préfecture située sur l'axe Bangolo- Duékoué. Après une vente florissante dans la localité, le riche décide de regagner Duékoué. Mais en route, il se fait accoster par le malfaiteur qui lui a coupé la route. Sous la menace de arme, il se fait remettre son sac contenant toute la recette de la journée par le commerçant, soit la rondelette somme de 2 millions de F. Après son forfait, Yao Anicet, le malfaiteur disparaît dans les hautes broussailles. Mais le commerçant qui a identifié clairement son agresseur, va porter plainte à la brigade de gendarmerie de Bangolo, le lendemain 4 octobre, donne tous les détails pouvant faciliter l'enquête. Les gendarmes ne mettront pas assez de temps à interpeller Yao Anicet, le présumé coupable dans le campement de Oussoukro dans la sous-préfecture de Guinglo-Tahouaké. Conduit dans les locaux de la brigade et soumis à un interrogatoire très serré, avoue son forfait. Quant au butin de 2 millions de F arraché au commerçant, il confié les avoir gardés en lieu sûr. Les hommes de l'adjudant chef Touré Sékou sont à pied-d'oeuvre pour retrouver les retrouver. En attendant, Yao Anicet est gardé à vue à la brigade pour des compléments. d'information. Avec cette arrestation, les usagers de l'axe Bleniminhouin -Duekoue peuvent pousser un ouf de soulagement.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Lundi 7 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Les pluies diluviennes qui s'abattent actuellement sur le district autonome des montagnes continuent de faire des victimes. Après l'inondation d'un quartier du village de Kahen, ces eaux furieuses ont emporté un tradi-praticien, le jeudi 3 octobre.


Bangolo/ Drame/ Un tradi praticien périt dans une rivière en crue
Les populations de Adjoskokro, un campement dépendant de la sous-préfecture de Bleniméhouin, sont en émoi. Un tradi-praticien originaire de cette bourgade peuplée essentiellement d'allochtones a péri tragiquement dans la rivière en crue. Mais comment le drame est il survenu ? Selon des sources, c'est que le jeudi 03 octobre, le jour des faits, il est 17 heures quand le nommé Yao Kan Jean Claude, tradi-paticien, décide d'aller recueillir des feuilles et des racines dans la forêt qui couvre le campement. Il se fait accompagnr de son fils, Yao Koffi Samuel, âgé seulement de 12 ans. Le père et le fils foncent alors dans les broussailles. Mais ce que le tradi-praticien ignore, c'est qu'avec les intempéries, toute forêt est cernée par la rivière en crue. Un véritable piège mortel surtout avec le courant d'eau extrêmement dangereux. Mais une fois au bord de cette rivière très houleuse en raison des vague, le guérisseur , sans même prendre de précautions, s'aventure dans cette eau. Une erreur que le tradi-praticien paye cash, de sa vie. En effet, une fois les pieds dans l'eau, il est aussitôt happé par le courant. Impossible de s'en défaire. Les minutes qui suivent, le tradi-praticien est emporté, sous le regard impuissant de son fils. Le jeune Yao Koffi Samuel court à la recherche de secours au campement situé à deux kilomètres. Sans tarder, les habitants du campement se déportent sur les bords de cette rivière en furie. Les recherches entreprises permettent de decouvrir le corps sans vie de Yao Kan Jean Claude. Après le constat effectué par l'infirmier du centre de santé de Bleniminhouin sous l'assistance d'un gendarme de la brigade de gendarmerie de Bangolo, le corps sans vie du paysan tradi-praticien a été transféré au campement où l'inhumation a eu lieu. Son fils encore sous le choc est actuellement inconsolable de même que toute la localité d'Adjaskokro.

Bangolo/ Drame/ Un tradi praticien périt dans une rivière en crue
Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Dimanche 6 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le vendredi 4 octobre 2024, le Pr. Ag. Vanga épouse Bosson Abo Henriette a dressé un bilan détaillé de la 11e édition des Journées Nationales des Pharmaciens, qui se tenait à l’Université Polytechnique de San Pedro. Après deux jours de panels enrichissants, son discours a souligné l’importance de la phytothérapie et des thérapeutiques alternatives et le rôle du pharmacien dans ce protocole.


Bilan de la 11e Édition des Journées Nationales des Pharmaciens de Côte d'Ivoire (JONPCI): communication du Pr. Vanga Henriette



En entame de sa communication, le Pr. Vanga a chaleureusement remercié tous les panelistes pour leurs contributions sur des sujets sensibles et cruciaux en santé. Elle a exprimé son enthousiasme pour le thème choisi cette année : « La place du pharmacien dans La phytothérapie et les thérapeutiques alternatives » Ce sujet a été le fruit d'un brainstorming au sein de la commission scientifique, qui a généré près de quinze thématiques potentielles, bien que seules quatre aient pu être développées lors des sessions en raison des contraintes de temps.
« Nous avons dû faire des choix difficiles, mais nous avons priorisé les thèmes les plus pertinents pour notre pratique », a-t-elle déclaré.

Suivi des Recommandations Jonpci 2023

Le Pr. Vanga a souligné l'importance de faire le suivi des recommandations formulées lors de l'édition précédente. Elle a débuté son bilan en se référant aux recommandations émises l’année dernière, dont l'une concernait la nécessité de garder des fonds pour le développement de l'industrie pharmaceutique. Elle a noté que la mise en place de Finpharma répondait à cette exigence.
Concernant la formation sur la chaîne de valeur de l'industrie pharmaceutique, elle a indiqué que l'Ordre avait lancé une réflexion à travers la création d'une commission prospective et industrie pharmaceutique.

Participation et Engagement

Le Pr. Vanga a également souligné l'engagement des participants, mentionnant la présence de 1 300 personnes, dont 491 pharmaciens et 140 étudiants. Elle a salué les efforts des étudiants de l'UFR des sciences pharmaceutiques, affirmant qu'ils avaient été un modèle d'engagement pour leurs pairs.
« Cette affluence est le signe que notre communauté est en pleine effervescence et que les sujets abordés sont d'un grand intérêt », a-t-elle affirmé.

Recommandations Émergentes

Les recommandations issues des différentes tables rondes ont été particulièrement marquantes. Pour la conférence inaugurale, plusieurs recommandations clés ont été notées Soutenir la culture des plantes médicinales, avec un partenariat établi avec le Serena pour des plantations. Encourager la collaboration entre pharmaciens et praticiens de la médecine traditionnelle pour une approche intégrée des soins.

Dans le cadre de la table ronde sur la recherche et le développement, elle a mis en avant la nécessité de : Construire des unités de recherche pour les médicaments vitaux. Renforcer les collaborations entre pharmaciens, praticiens, et autorités de régulation pour garantir la standardisation.
Elle a également souligné l'importance de former les pharmaciens et les patients sur les médicaments homologués.
 
En conclusion, le Pr. Vagan a exprimé sa gratitude envers tous les partenaires, intervenants et participants, en reconnaissant que sans leur soutien, cet événement n’aurait pas eu lieu. Elle a souligné que les recommandations et discussions avaient ouvert des pistes pour améliorer le secteur pharmaceutique en Côte d'Ivoire.

« Ensemble, nous avons la capacité d'apporter des changements significatifs dans notre domaine. Ces journées sont une opportunité pour bâtir un avenir meilleur pour la santé de notre population », a-t-elle conclu.
Ce bilan, riche en réflexions et recommandations, constitue un tournant dans l'engagement des pharmaciens de Côte d'Ivoire vers une meilleure intégration de la phytothérapie et des thérapeutiques alternatives dans leur pratique quotidienne.
Edithe Valerie Nguekam


Tags : Jonpci
Vendredi 4 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le conseil municipal de Dabou a tenu sa 3 ème session ordinaire le mercredi 2 octobre à la salle Albert Kacou Tiapani. Le maire Yédé Niagne a humblement reconnu les difficultés liées à sa gestion des déchets et au très faible de réalisation des projets.


M. Yédé Niagne Claude, maire de la commune de Dabou
M. Yédé Niagne Claude, maire de la commune de Dabou
La ville de Dabou, il faut le dire honnêtement, ploie sous le poids des ordures ménagères. On ne peut franchir plus de 100 mètres sans que l'on ne soit surpris par des tonnes d'imondices, donnant même l'impression d'une d'unité de fabrication de déchets. Naturellement, avec son corollaire de mouches et moustiques, eux mêmes de grands vecteurs de maladies endémiques telles le paludisme et la fièvre typhoïde. À cela il faut ajouter le mauvais entretien des voiries: voies dégradées, rues colonisées par des commerçants aux abords du marché, caniveaux bouchés, rues crevassées ou impraticables... tel est le décor insupportables qui accueille les visiteurs. " Il ne fait pas très bon vivre à Dabou à cause des ordures et des rues complètement dégradées", font souvent remarquer, des visiteurs, avec un air ironique.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
En effet, lors du conseil municipal, le maire Yédé Niagne Claude, sous l'avalanche des critiques et autres remarques parfois désobligeantes des chefs de quartiers et de communautés, ne s'est pas contenté de les esquiver. Il a humblement reconnu que sa cité ne donne pas fière allure. " Nous faisons ce que nous pouvons avec de maigres moyens pour nous débarrasser des ordures. Nous avons un véhicule vieux de plus de 30 ans qui ne marche plus d'ailleurs. Les tricycles et un vieux tracteur ne peuvent rien devant les ordures qui se multiplient chaque jour ", confesse le maire qui demande la participation des populations à l'aider à assainir la ville, à travers un comportement citoyen. " Ce n'est pas à moi d'aller nettoyer devant vos maisons. Prenons conscience que les ordures entraînent des maladies. On peut les pré -collecter et rendre ainsi les quartier propres", propose t il. Au niveau des voiries, une opération de rechargement lourd et de réprofilage des rues a été entreprise. Mais, au dire de certains chefs de quartiers, plusieurs secteurs ont été ignorés ou sacrifiés. C'est le cas du quartier Grande scierie, Tchotchoraff et des secteurs de Pépinière, pour ne citer que ceux là.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
En terme de réalisations, tous les 37 conseillers/50, présents se sont accordés que le taux réalisations est en deçà des estimations. Il est seulement de 13 %. " Nous n'avons rien fait de tout ce qui a été prévu. Et je crains que pour le reste du temps pour atteindre 2025, nous puissions réaliser quelque chose", avoue le maire impuissant. À la lecture, deux facteurs ont contribué à cette déconvenue. D'abord, la mauvaise foi des entrepreneurs qui traînent les pieds sur l'exécution des chantiers. C'est le cas de l'espace gastronomique de Bastos où depuis 6 ans, les travaux n'ont guère atteint 60 % alors qu'il devait livrer en 6 mois. Le jardin public attend aussi d'être livré après plus de 7 ans. L'autre facteur est lié à l'état de santé du maire Yédé Niagne Claude au point qu'il n'a pas eu le temps nécessaire pour mettre la pression sur les entrepreneurs.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
Mais le maire promet de se rattraper. "Nous allons corriger plusieurs facteurs afin que nous puissions nous rattraper", promet il. De fait, la bonne nouvelle, c'est que le conseil municipal bénéficie d'un excédent budgétaire de 356 millions de F. Ce fonds pourrait aider à l'exécution du programme triennal de 2025, 2026 et 2027. Selon les prévisions, il est prévu des rechargements lourds des pistes, les équipements de centres de santé, la réhabilitation du centre culturel, la construction d'un centre multimédias, l'achat d'une nivelleuse, une gare routière et la réhabilitation du fort Faidherbe de Dabou.

Norbert Nkaka


Vendredi 4 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le comité de gestion locale du parc national du mont Péko a tenu une réunion extraordinaire le lundi 30 octobre, dans la salle de réunions de la ville de Duekoué. Au cours de cette rencontre, l'Office ivoirien des parcs et réserves ( Oipr) a décidé d'initier un concours villageois de préservation du parc national du mont Péko où le meilleur empochera la somme de 10 millions de F. 24 villages sont en compétition.


Préservation du parc national du Mont Péko/L'Oipr met 24 villages en compétition pour 10 millions de F.
Le parc national du mont Péko, patrimoine mondial, a été l'objet de pillages monstrueux de la part d'un groupe de riverains conduits par un certain Amadé Ourémi, mis aux arrêts depuis 2013, lors d'une opération militaire organisée par les forces armées de Côte d'Ivoire. Depuis cette date, le gouvernement, à travers le ministère des Eaux et forêts, fait main et pieds pour restaurer ce site. D'où l'instauration d'un concours lancé lors de la réunion du Comité de gestion locale ( Cgl). Ce prix de 10 millions de F CFA met en compétition, les 24 villages riverains du Parc National du Mont Péko. Il convient de préciser que ce patrimoine forestier couvre une superficie de 32 hectares. S'agissant des modalités, ces villages seront évalués aux performances de protection et de conservation de l'environnement à compter de ce mois d'octobre, à en croire le responsable local de l'Oipr, le colonel Zanou Moïse. Le village vainqueur empochera la somme de 10 millions de F CFA, le second partira avec 3 millions de F et le troisième village 2 millions. " A travers ce prix , le gouvernement veut inciter les populations à poser des actes de protection de l'environnement et du cadre de vie", a justifié le colonel Zanou Moïse. Des critères de choix sont, la propreté du villages , le reboisement, la mise en pratique effective de l'agro-foresterie et enfin la mise en œuvre des comités de lutte contre les feux de brousse. Des responsables locaux de défense du parc ont apprécié l'avènement de ce prix et ont promis de tout mettre en œuvre pour une préservation effective du parc national du mont Péko.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Mercredi 2 Octobre 2024 | Commentaires (0)
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