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Seconde Une

Le jeudi 19 septembre 2024, l'hôtel Silver Moon à Abidjan a accueilli un atelier décisif pour l'avenir de la filière fruits et légumes en Côte d'Ivoire. Cet événement s’inscrit dans la seconde phase d’un projet de normalisation des produits vivriers financé par le Fonds Fiduciaire 2 du Codex Alimentarius. La Côte d'Ivoire, à travers l'organisme CODINORM, cherche à transcrire les normes internationales du Codex en normes nationales, avec un accent particulier sur des produits phares tels que la mangue, l’avocat, le gingembre, le piment et le fruit de la passion.


Atelier de renforcement des capacités des acteurs de la filière fruits et légumes : Vers une normalisation stricte des produits vivriers en Côte d'Ivoire
L'objectif principal de cet atelier était de renforcer les capacités des 45 participants, dont 30 acteurs de la filière fruits et légumes et 15 membres du Comité National du Codex Alimentarius. Les participants ont reçu un module de formation, incluant des études de cas et des documents techniques. Le cadre de la normalisation repose sur des références internationales telles que les normes CEE-ONU FFV-42 pour les avocats, CXS 197 pour la mangue, CXS 218 pour le gingembre, entre autres. Ces normes sont appliquées selon des décrets et lois ivoiriens, comme la loi n° 2013-866 relative à la normalisation et à la promotion de la qualité.

Atelier de renforcement des capacités des acteurs de la filière fruits et légumes : Vers une normalisation stricte des produits vivriers en Côte d'Ivoire
Importance de la transformation locale

La transformation locale des produits agricoles en Côte d'Ivoire est perçue comme une solution stratégique face aux pertes post-récoltes. Mme Coulibaly Tenedja Ramata, directrice des Cultures Vivrières et de la Sécurité Alimentaire, et point focal Codex, a insisté sur la nécessité de vulgariser ces normes auprès des agro-transformateurs. Selon elle, cet effort permettra non seulement de garantir la qualité des produits sur le marché local, mais aussi de préparer les producteurs à l’exportation.

Patricia Ehouman, agro transformatrice de noix de Cajou
Patricia Ehouman, agro transformatrice de noix de Cajou
Des participants outillés aux normes

Les participants à cet atelier ont souligné l'importance d'une normalisation rigoureuse pour améliorer la compétitivité des produits ivoiriens sur les marchés internationaux. Yves Aka, président de la Fédération Nationale des Associations de Consommateurs de Côte d'Ivoire (FACCI), souligne que le respect des normes est essentiel pour garantir des produits de qualité aux consommateurs. Il explique: . Il explique :  "je suis venu à   cet atelier de formation sur les normes, parce que je constate que tous ce que les agro-transformateurs, produisent, tout ce qu'ils mettent sur le marché, tout ce qu'ils commercialisent, c'est pour le  consommateur. Et donc,  si les produits ne respectent pas les normes, surtout les normes d'application obligatoires que  le  CODEX nous a donné  aujourd'hui, c'est que la Côte d’Ivoire a sur le  marché des produits qui ne sont pas compétitifs.  Selon lui, il est important  pour nos producteurs d'être compétitif en respectant les normes.  Quand le produit respecte les normes, ça veut dire que ce sont des produits de bonne qualité.

Pour tous ces  Agro transformateurs,  à cet atelier c’est le satisfecit total. Ils sont désormais booster pour de nouveaux défis dans leur démarche de transformation, celui de se conformer aux normes et affronter avec sérénité le marché extérieur. L'atelier a donc suscité des réactions positives parmi les participants.

Patricia Ehouman, agro-transformatrice spécialisée dans les produits à base de noix de cajou, s'est dite confortée dans sa démarche qualité après avoir suivi cette formation. Elle estime que la normalisation ouvre la voie à de nouvelles opportunités, tant sur le marché local qu'international.

« Pour moi, cette formation qu'on vient de faire sur le Codex Alimentarius, en particulier pour les normes sur les mangues, le gingembre, et ainsi de suite, ça me conforte dans la démarche dans laquelle je me suis inscrite, qui est, après avoir eu quelques distinctions, des médailles d'or pour l'originalité de mes produits, je me suis inscrite dans une démarche qualité. Et là, cette formation vient me dire que oui, c'est une voie à suivre, c'est une démarche à poursuivre, et qu'on a un marché local qu'on se doit de protéger en mettant sur ce marché là des produits qui correspondent à la norme de la Côte d'Ivoire. »

Mme Coulibaly Alimata
Mme Coulibaly Alimata
Mme Coulibaly Alimata, présidente des femmes agro-transformatrices de Côte d'Ivoire, a également exprimé sa satisfaction. Elle a rappelé l'importance de la qualité dans la transformation des produits agricoles et s'est engagée à sensibiliser ses consœurs à l'application des normes pour garantir la sécurité des consommateurs. 
 
"Vous avez remarqué avec moi que les produits transformés, même les produits bruts, sont de plus en plus présents sur les grandes surfaces de distribution. Quelles sont les conditions? Quelles sont les nouvelles normes? Comment faire pour que nous puissions être encore plus présents avec nos produits, pouvoir référencer encore plus de produits locaux bruts et transformés dans ces rayons de grande renommée, les grandes surfaces de distribution des firmes étrangères qui se sont installées dans notre pays et qui ont accepté de faire le référencement de nos produits.

 I
l faut être à la hauteur, ne pas décevoir et cette formation nous a apporté un plus. Nous ferons en sorte que nous soyons de plus en plus performants pour ne pas décevoir la population, pour ne pas décevoir ceux, les distributeurs qui nous ont fait confiance et ont accepté de prendre nos produits dans les rayons des supermarchés"
 

Atelier de renforcement des capacités des acteurs de la filière fruits et légumes : Vers une normalisation stricte des produits vivriers en Côte d'Ivoire
Les enjeux de la normalisation

La production et la commercialisation des fruits et légumes en Côte d'Ivoire sont confrontées à de nombreux défis, allant des contraintes climatiques aux problèmes d'enclavement des zones de production. Le respect des normes, tant pour la production que pour la transformation, est donc un enjeu crucial pour assurer la compétitivité des produits ivoiriens, tant au niveau local qu'international.

Le Professeur Ardjouma Dembélé, président du Comité National du Codex Alimentarius, a annoncé la mise en place d’un comité technique pour échanger sur les normes et poursuivre les formations. Selon lui, ce comité sera essentiel pour l'élaboration de normes adaptées à la réalité ivoirienne.

Atelier de renforcement des capacités des acteurs de la filière fruits et légumes : Vers une normalisation stricte des produits vivriers en Côte d'Ivoire
Perspectives et défis

Si l’atelier du 19 septembre 2024 a permis d'outiller les acteurs de la filière fruits et légumes, il ne représente qu'une première étape. Mme Coulibaly Tenedja Ramata a souligné la nécessité d’accompagner les participants formés pour garantir l'implémentation des normes sur le terrain.

Christiane Mouroufié, cheffe du département Appui aux Entreprises à CODINORM, a quant à elle évoqué l’harmonisation des normes au niveau sous-régional, un processus en cours qui permettra de renforcer la compétitivité des produits ivoiriens dans la zone de libre-échange africaine. "« Pour le moment, on n'a pas encore travaillé sur l'harmonisation des fruits et légumes. Ça veut dire que chaque pays, de la sous-région a sa norme. Mais, généralement, nous faisons l'effort de nous aligner sur les normes Codex qui sont internationales. »  Nous a-t-elle précisé. 

Au niveau de la sous-région,  plusieurs produits ont déjà été harmonisés, il s’agit de l’Attiéké, des bouillons culinaires,  de la farine, des céréales infantiles pour ne citer que ceux –là.

La vision du CODINORM ici est  d'accompagner toutes les entreprises, qu'elles soient moyennes, petites, grandes. Non seulement à adhérer au concept de normalisation, parce qu'on ne peut rien faire sans normes, mais aussi de les emmener à être certifiées, à faire les choses de manière correcte, à ce que le produit réponde aux exigences des consommateurs et soit compétitif au niveau international.



 

Atelier de renforcement des capacités des acteurs de la filière fruits et légumes : Vers une normalisation stricte des produits vivriers en Côte d'Ivoire
Une évaluation  a été faite  aux  participants afin de mesurer l’efficacité  de la formation  et l’atteinte des objectifs préalablement  définis. Également,  une séance de partage d’expériencesa eu lieu, les agro transformateurs présents ont exposé sur leur produit auprès de leurs pairs.  Et l’assistance n’a pas manqué de découvrir  le génie du label Côte d’Ivoire porté par ces  transformateurs.  Noix de cajou,  sous toutes ses déclinaisons, banane plantin, et autres ignames en frites,  poivre  blanc et gingembre, ail, piment   en ce qui concerne les assaisonnements culinaires tous  des produits agro-transformés  made in Côte d’Ivoire et que l’on retrouve sur le marché local.
 
Le Président du Comité  Codex Alimentarius dans  son mot de fin après avoir remercié les participants et les formateurs de cet atelier a souligné l'engouement soutenu sur cinq normes importantes pour cette spéculation en voie libérale qui sont l'avocat, l'amande, le piment frais, les ingénieurs et le fruit de la passion.
 
« Au terme de notre activité de formation, nous pouvons en résumer sans hésiter, et j'aimerais souligner les objectifs pour aider l'agriculteur par rapport à l'importance, la facilitation, la magnitude que donnent les normes par rapport à ces cinq spéculations, notamment par rapport à la certification, par rapport à la sécurité sanitaire et la sécurité du consommateur et enfin la facilitation de l'accès au marché qui peut nous offrir l'opportunité de l'application de cette norme. Je ne pourrai terminer mes propos sans remercier et féliciter les participants qui ont très activement animé, contribué à l'organisation et à l'optimisation de cette formation. » at- il déclaré. 

Edithe Valerie Nguekam

Les habitants du quartier Alepe -Village Extension sont en émoi. Ils s'interrogent encore difficilement sur ce qui est arrivé à D.B, un quinquagénaire mort brutalement dans un kiosque après avoir pris son petit déjeuner. Ce drame s'est produit dans la matinée du 18 septembre.


Drame/ En plein repas, il s'écroule et meurt
Selon plusieurs sources, ce jour là, D.B, se rend dans un kiosque à café pour un petit déjeuner. D'ailleurs, chaque matin, c'est dans ce lieu qu'il prend son petit déj' avant de continuer au boulot. En tout cas rien ne présageait un drame aussi rocambolesque. Son repas servi, il le prend tout en dévisant avec les voisinages. Mais au moment où l'homme prend congé de ses amis, il est subitement pris d'un malaise. Il se tord de douleurs abdominales. Les minutes qui suivent, il s'allonge sur le dos, sa tête entre les mains. Son épouse qui tombe sur la triste scène tente de le remonter, juste le temps de le conduire dans un centre de santé. Malheureusement, au fil des minutes, cette douleur devient de plus en plus intense. D.B est inconscient. Son épouse et des bonnes volontés alertent finalement les pompiers civils du centre de protection civile d'Alépé. Ceux-ci arrivés promptement lui apportent les premiers secours avant de l'évacuer aux urgences de l'hôpital général d'Alépé. Mais, malgré la prise en charge rapide des praticiens de la santé, rien n'y fit. D.B rend l'âme. La nouvelle de sa mort fait vite le tour de la ville. Les commentaires vont bon train avec une seule interrogation. De quoi est mort D. B.? La police informée a ouvert une enquête qui nous permet de savoir ce qui a bien pu arriver à DB arraché brutalement à l'affection des riverains du quartier Extension où il a passé toute sa vie.

Drame/ En plein repas, il s'écroule et meurt
Norbert NKaka ( Info : BV)


Samedi 21 Septembre 2024 | Commentaires (0)
Le domicile du vieillard, mis à sac
Le domicile du vieillard, mis à sac
Le port du cercueil pour désigner le présumé coupable de la mort des personnes en sorcellerie est une pratique vieille dans les sociétés traditionnelles. Car en Afrique, la mort n'est jamais naturelle. Mais vu les graves conséquences et les dérives graves qui découlent de cette pratique, certaines communautés ont vite fait de l'interdire. Dans le département d'Alépé, certaines populations ont du mal à se départir de cette pratique qui consiste à faire désigner par le défunt, celui ou celle qui l’aurait précipité dans l’au-delà. Et l’octogénaire Ohoussou Kalala, en a payé les frais à Monga, localité située à environ 3 km d’Alépé. Le 14 septembre 2024, à l’enterrement d’un jeune décédé dans le courant de ce même mois, ses amis pour qui cette mort n’est pas naturelle, décident de porter son cercueil afin de démasquer tous ceux qui, tapis dans l’ombre seraient à l’origine de sa mort. Le cercueil sur les épaules avec des incessants tangos, ils se dirigent vers le domicile d’Ohoussou Kalala, 80 ans. Selon nos sources, le cercueil a violemment percuté la mâchoire le vieil homme qui s’est écroulé. Pour les adeptes de cette pratique, c’est donc l’octogénaire qui aurait causé la mort de ce jeune qui respirait la grande forme. Très excités, les jeunes sans aucune autre forme de procès, non contents de l’avoir blessé, pour montrer leur détermination, ont incendié sa maison de sept pièces. Les sapeurs-pompiers civils du centre de protection civile d’Alépé, alertés, se sont rapidement rendus sur les lieux. Mais, à leur arrivée, l’infortuné octogénaire avait été déjà évacué aux urgences de l’hôpital général d’Alépé. Rappelons qu’il y a quelques années, cette vieille pratique avait causé la mort des présumés sorciers dans le département.

Norbert NKaka ( Info : BV)


Samedi 21 Septembre 2024 | Commentaires (0)

Une opération de déguerpissements de la forêt classée de Bouaflé, précisément dans le département de Bonon ( région de la Marahoué), a été entreprise par des éléments de la Sodefor depuis le mardi 17 septembre aux environs de 3 heures. Des milliers de planteurs, des femmes et des enfants en fuite ont envahi la ville de Bonon. D'autres seraient introuvables à ce jours. Selon des témoins sur place, la situation humanitaire est très préoccupante pour ces populations dépouillées.


Des images choquantes des déguerpis de la forêt classée de Bonon
Des images choquantes des déguerpis de la forêt classée de Bonon
Selon des sources étayées par le correspondant de l'Agence ivoirienne de presse sur place, c'est le 17 juillet, au cours d'une rencontre que les responsables de la Sodefor à qui est confiée la gestion de ce vaste patrimoine forestier, ont sommé les populations de quitter les lieux, à travers une mise en demeure, sous prétexte qu'une opération de reboisement serait bientôt amorcée, dans cette zone déclarée forêt depuis 1929 mais toujours occupée par les planteurs. Mais les populations des 18 campements installés dans cette forêt depuis près de 80 ans pour la plupart, ont cru à des propos de routine, souvent sans effet exécutoire. Erreur !

Déguerpissements de la forêt de Bonon/ Situation humanitaire très préoccupante/ Des familles dépouillées et sans abri. Les écoliers livrés à la rue.
Mais voilà que dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 septembre aux environs de 3 heures, les populations sont tirées de leur lit par des fortes détonations et autres déflagrations qui déchirent les forêts environnantes. Un important détachement militaire a procédé à une opération de déguerpissement très musclée.C'est la débandade surtout que certains croyaient à une de ces rébellions. Des cases sont détruites et incendiées, des animaux abattus et des biens pillés. Dans leur fuite, plusieurs blessés sont enregistrés quand d'autres sont encore introuvables. Des invalides, dû à leur âge avancé sont évacués de force. Ainsi les populations des nombreuses bourgades telles Yobouékro Antenne, Petit Gohitafla, Djahakro, pour ne citer que ces localités ont dû braver 30 à 40 km à la marche pour accéder à Bonon.

Déguerpissements de la forêt de Bonon/ Situation humanitaire très préoccupante/ Des familles dépouillées et sans abri. Les écoliers livrés à la rue.
Dans cette localité, si certains ont pu être recueillis par des hommes de bonne volonté, ce n'est pas le cas pour d'autres. La plupart sont actuellement sans abri. D'autres dorment à la belle étoile et à la merci des intempéries, désargentés. "Nous avons été chassés comme des animaux et tous nos bien pillés. Nous n'avons ni toit 'i habits de rechanges ni argent. Nous implorons me gouvernement à nous venir en aide. Nos enfants écoliers sont à la rue. Ils sont obligés de mendier pour survivre", pleure Brou N'Guessan Georges, le président des jeunes de Yobouékro- Antenne.

Déguerpissements de la forêt de Bonon/ Situation humanitaire très préoccupante/ Des familles dépouillées et sans abri. Les écoliers livrés à la rue.
La situation des déguerpis de la forêt de Bonon est très préoccupante Car ils sont des milliers de paysans sans abris, exposés à toutes sortes d'intempéries et dangers. Parmi eux des personnes âgées et assez fragiles. À cela s'ajoutent les nombreux écoliers actuellement à la rue, pendant que leurs camarades des autres localités vont à l'école. Certains sont obligés de mendier pour survivre. Mais le contraste, c'est que les écoles déguerpies sont des patrimoines de l'Etat. "Nous avons une école primaire où les enseignants sont affectés par l'État", précise le président des jeunes. Le gouvernement a t il envisagé des mesures recasement des populations et de réaffectations des enseignants et des élèves avant de procéder à une telle opération traumatisante, humiliante et déshumanisante? Ce sont autant de situations qui choquent les populations. Et dire que ces valeureux planteurs participent à leur manière à l'essor économique du pays, il y a plusieurs mécanismes pour leur réserver un traitement digne et humain. Il y va de la dignité de l'ivoirien et de son bien être aussi.

Déguerpissements de la forêt de Bonon/ Situation humanitaire très préoccupante/ Des familles dépouillées et sans abri. Les écoliers livrés à la rue.
Norbert N'Kaka ( Source et photo : Aip Bonon)


Vendredi 20 Septembre 2024 | Commentaires (0)

Depuis le mardi 18 septembre, des hommes en tenue auraient effectué une descente dans la forêt classée de Bonon pour y déloger les occupants. On dénombre plusieurs dizaines d'habitations rasées ou incendiées, selon des sources. Plusieurs habitants seraient introuvables ainsi de nombreux biens pillés.


Images d'archives
Images d'archives
Selon des sources, cette opération punitive porterait la marque d'un détachement de l'armée ivoirienne mise en mission dans la forêt classée de Bonon où séjournent des centaines de milliers de planteurs, installés pour la plupart depuis les années 70. L'opération s'inscrirait dans le cadre d'un vaste déguerpissement de la réserve de la Sodefor. Selon des témoins, ces populations pour la plupart, auraient été surprises dans leurs campements aux environs de 3 heures du matin par des coups de fusils. Apeurés et traumatisés par la brutalité de cette descente, certains ont regagné la brousse quand d'autres couraient ça et là dans les campements. Ils soutiennent avoir été dépouillés de tous leurs biens par les hommes en armes. Plusieurs parmi les fuyards auraient trouvé refuge à Bonon après avoir parcouru plusieurs dizaines de kilomètres à pied nuitamment. Les moins chanceux sont actuellement introuvables. Sans abri et totalement démunis, Parmi eux, plusieurs écoliers qui fréquentent l'école primaire dans certaines localités.  Ceux ci demandent que le gouvernement leur vienne en aide car ils n'ont pas à manger ni de quoi se vêtir. Selon des témoignages rapportés, leur situation est très catastrophique. Nous y reviendrons.

Norbert Nkaka


Vendredi 20 Septembre 2024 | Commentaires (0)
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