C’est une des priorités de l’état-major Ukrainien à l’heure actuelle. Empêcher la conquête de Severodonetsk, mais avec quels moyens, déjà que sur les plans numérique et logistique, les forces Ukrainiennes chargés de la défense de Severodonetsk sont largement inférieurs ? Selon un reportage de Bfm Tv sur le front de l’est, la pénurie d’armes et de munitions commence à se faire durement ressentir pour les troupes Ukrainiennes.
 
Le Pentagone également cité par le confrère, indique même que l’Ukraine ‘’arrive à bout du stock d’armes et de munitions de conception Soviétique’’ dont elle dispose. Pendant ce temps, Kiev continue de réclamer des approvisionnements en armes de ses alliés Européens, notamment de l’Allemagne, qui plus de 3 mois après l’éclatement de la guerre d’invasion déclenchée par la Russie, n’a toujours pas envoyé de matériel lourd à en croire les autorités Ukrainiennes.

Source: Netafrique.net

. C'est l'agence d'informations burkinabè (Aib) qui donne l'information. Selon cette agence pro gouvernementale, les terroristes ont remis un courrier le 5 juin à un conducteur de véhicule de transport en commun dans la localité de Gayéri. Dans cette missive " il est demandé au chef de Gayéri (nord- est) de dire aux forces de défense et de sécurité (Fds) et aux volontaires pour la défense de la patrie (Vdp), d'arrêter de s'en prendre à leurs éléments qui rentrent à Gayéri", pourrait on lire dans la dépêche. Ces terroristes ajoutent que "certains de leurs éléments auraient été enlevés au districts sanitaire de cette localité pour des destinations inconnues", précise le courrier. Dans ce courrier truffé de confusions, les terroristes brandissent la menace, car si les Fds et les Vdp ne cessaient pas leurs exactions, ils riposteraient. " Si nos exigences ne sont pas respectées, nous allons riposter et bloquer Gayéri comme on l'a fait pour Tankoalou", auraient menacé les terroristes. Ce courrier intervient dans un contexte où le président du Faso, le lieutenant colonel Paul- Henri Sandaogo Damiba ouvre les portes du dialogue aux terroristes, après plusieurs tuéries tant au niveau des militaires, des terroristes que des populations civiles. En revanche, le chef de l'État du Burkina Faso a promis de continuer l'offensive militaire contre tous les groupes armés, afin de restaurer l'intégrité du territoire. Norbert Nkaka (source: Aib)

 
Ce dernier a rendu hommage à l’officier Russe, qui selon lui, ‘’a montré par l’exemple comment servir la patrie’’. ‘’Tant que nos généraux combattront aux côtés des soldats, notre pays et notre nation (Ndlr : il fait référence à la Russie) seront invincibles’’. La mort du Général Koutouzov vient allonger la liste des hauts gradés Russes tués sur le théâtre des opérations en Ukraine depuis le début de la guerre d’invasion lancée par Vladimir Poutine, le 24 Février dernier.
R.A

Koné Jean Jacques et Bayala Bruno, tous deux bien connus de la maison d'arrêt et de correction de Dabou, pour y avoir plusieurs fois séjourné, retournent certainement dans leurs cellules. Cette fois, les deux animateurs de la pègre de Dabou sont condamnés pour avoir cambriolé à deux reprises, les locaux du conseil régional des droits humains (Crdh).Pour remonter les faits, c'est que les deux bandits, venus nuitamment le 15 mai, à bord d'un véhicule, n'ont pas eu de difficulté à escalader le mur et avoir librement accès aux locaux du Crdh non pourvus en vigiles. Et c'est donc en toute tranquillité qu'ils amassent les ordinateurs, les chaises et d'autres objets importants, qu'ils emportent sans ménagement. Mais alors que la police informée mènent une enquête relative au forfait, les bandits remettent le couvert le lendemain 16 mai pour emporter le reste des effets, notamment une photocopieuse. Les éléments de la police, très choqués, redoublent d'efforts et réussissent à mettre le grappin sur Koné Jean Jacques et surtout Bayala Bruno, ce dernier chez qui, une partie des objets volés est retrouvée après une perquisition. Interpellés puis déférés au parquet, les deux lascars nient les faits jusqu'au jeudi 2 juin, jour du procès. En effet, alors que Koné et Bayala sont "cuisinés" par le procureur, ces deux repris de justice craquent enfin. Mais ils soutiennent avoir agi" sous les ordres d'un lieutenant de police de la localité", aurait confié l'un des prévenus. Mystère! Ce prévenu voulait il utiliser cet argument pour faire du bluff? En tout cas le juge ne les a pas suivis et les a condamnés respectivement à un an pour Koné Jean Jacques et 5 ans pour Bayala le recéleur. En tout état de cause, les commentaires fusent de partout. Attendons pour voir. Norbert Nkaka