Sur ses pages de réseaux sociaux, l'ex président du Mouvement 100% ADO a annoncé la création d'un parti politique, Espoir Côte d'Ivoire. S'il faut désormais inclure cette formation politique dans la pléthore des partis pullulant déjà sur l'échiquier national, la question de la crédibilité d'espoir CI se pose avec acuité. Déployé sur la base des frustrations de son fondateur dont le seul motif de départ du RHDP, se justifie par sa déception de ne pas avoir été positionné à un poste de responsabilité, Espoir Côte d'Ivoire représente-t-il dans ces conditions, une alternative crédible d'un point de vue idéologique ? Au risque de se discréditer définitivement dans l'opinion publique, cet ex activiste pro-Ouattara devrait susciter des arguments beaucoup plus convaincants pour donner un sens à ce chantier qu'il entame. D'autant plus que sa lutte ouverte pour "manger" menée à grands coups d'expositions sur les réseaux sociaux, pourrait coller à ce parti l'image d'une formation politique alimentaire. R.A

« La filière apicole en Côte d’Ivoire se porte bien. Toutefois nous rencontrons d'énormes difficultés. Nous manquons d'équipements adéquats, de formation au métier d'apiculture et surtout de formation. Nous lançons donc un appel aux autorités politiques de nous soutenir à investir toute la Côte d’Ivoire", a situé d'entrée le président de l'Aaci, Manuel Tiédé Ouloto. Il a surtout insisté sur la nécessité de soutenir ce secteur vital de l’élevage car le miel est utilisé dans les ménages mais aussi et surtout dans l'industrie pharmaceutique. Mais ce qui perturbe l'activité c'est que « En Côte d’Ivoire, nous n’avons pas assez de reine donc, faute de reproducteurs. Il faut former les apiculteurs chevronnés à l’élevage de reine et les réinstaller. C'est à ce prix que notre secteur peut véritablement grandir",a égrené le président de l'Aaci, qui a par ailleurs souligné les menaces encourues par les abeilles sur la planète terre. « Aujourd’hui, il y a un déclin d’abeilles aussi bien en Europe qu’aux Etats-Unis. Ce qui menace la planète » a-t-il indiqué. Au demeurant il envisage comme solutions, la protection des abeilles, la réduction des pesticides et des feux de brousse. Cette cérémonie a enregistré la participions des représentants des Ministères de l’Agriculture et du développement rural, des Ressources animales et Halieutiques, avec la présence de la mairie de la commune du plateau. Pour rappel, l’association des Apiculteurs de Côte d’Ivoire, a vu le jour en 2010, et regroupe en son sein environ 800 membres. L'objectif est de promouvoir le développement de la filière apiculture en Côte d’ivoire et s'implanter dans plusieurs régions du pays telles que le Gbêkê, l’Indenié -Djuablin, de San Pedro et du Cavally et bien d’autres régions. Ces journées sont une plateforme pour l’AACI, une opportunité d’affaires pour les entreprises du domaine de l’apiculture et pour les agriculteurs. Conférence, expositions, visite de stands et vente de produits à base de miel ont meublés cette journée. Norbert Nkaka

La gestion des déchets est une véritable énigme pour bon nombre de communes. Dabou ne fait pas exception à cette situation. Ces derniers mois, le maire Yédé Niagne Claude semble prendre les taureaux par les cornes en mettant en place une brigade de salubrité qui aura la lourde charge de non seulement gérer les ordures ménagères mais elle doit aussi organiser des patrouilles afin de traquer et dissuader les éventuels contrevenants. Et c'est dans cette dynamique que l'artiste Abou Nidal à travers le Wara tour a choisi la ville de Dabou. " J'ai mis en place une brigade de salubrité pour régler définitivement le problème des déchets. Abou Nidal nous sert de canal. Celui qu'on surprendra en train de déverser des ordures sur la voie publique sera durement sanctionné", lance le maire Yédé Niagne Claude. Prenant la parole, le commissaire général du Wara tour, Abou Nidal, a dévoilé les motivations de son initiative. " J'ai créé le Wara tour pour lutter contre certains fléaux tels les grossesses en milieu scolaire, la drogue, les congés anticipés et l'insalubrité. Je suis à Dabou pour vous donner le meilleur médicament, c'est à dire la propreté. Que la salubrité soit désormais une habitude pour les populations de Dabou", exhorte Abou Nidal. Mais le moment le plus émouvant, c'est que le maire, l'artiste Abou Nidal, le conseil municipal ainsi que les nombreux élèves , balais et brouettes en main, ont pris d'assaut la voie principale, pour la débarrasser des ordures. Cette caravane de Wara tour prendra fin le vendredi 20 mai avec un concert géant qui verra la participation de plusieurs artistes de renom. Norbert Nkaka

Le chanteur malien Sidii Diabaté sème le doute sur la relation qu’il entretient avec la veuve de DJ Arafat, Carmen Sama. Interrogé sur la polémique lors de son intervention sur une chaîne de télévision, l’artiste n’a pas démenti les rumeurs. Il s’est juste contenté d’éclairer l’opinion public sur l’objectif du clip à polémique.
« Chacun est libre de penser ce qu’il veut mais moi, tout ce que je peux faire pour aider Carmen Sama, je le ferai. Même pour les autres mères ainsi que les autres enfants, je le ferai sans arrière-pensée. Tout ce qu’on dit de moi ne me touche pas. Le but du clip, c’était une publicité », a réagi Sidiki Diabaté.
À l’en croire, il fallait choisir un profil féminin et il a porté son choix sur Carmen Sama. « Je devais choisir un profil féminin qui représente la femme africaine. Il s’agissait pour elle de figurer dans le clip avec une tenue. Elle a reçu une vingtaine de millions juste pour faire la promo », a expliqué Sidiki Diabaté sur Life Week-end.
Pour rappel, l’apparition de Carmen Sama dans le dernier clip du Prince de la kora intitulé « Diarabi Néné Béna » continue de faire polémique. Des fans de DJ Arafat s’indignent contre la posture de Carmen dans ce clip et soupçonne une relation amoureuse entre la veuve de leur leader et Sidiki Diabaté.

Charlemanges Charly 

Après les championnats nationaux et Meeting de Pôles. La fédération ivoirienne d’Athlétisme a tenu sa dernière compétition au plan local, avec les championnats nationaux U18,U20, seniors et vétérans dans l’enceinte du stade champroux de Macory. 

Les Dames ont couru dans les catégories de (100 m, 200 m,400 m,800 m et 1500 m), de saut en longueur et en hauteur. La jeune sprinteuse Noufé Sarah Alida s’est imposé au 100 m avec un chrono de 12.2 et 25.3 au 200 m. Une belle performance pour l’athlète de l’Olympique de Marcory. Au Triple Saut, Sokouri a réalisé un bond de 12.56 m et en saut en longueur 5.52 m.
Le président de la fédération Jeannot Kouadio Kouamé, donne le bilan de ces compétitions « Le championnat athlétisme a été de bon niveau pour ce qui sont restés en Côte d’Ivoire, parce qu’ils il y a eu beaucoup athlètes qui sont à l’international. Ceux qui sont restés, les séniors et les U20, on a enregistré de belles performances au 100 et 200 m. Le bilan sur les 3 compétitions sont très positives. Les athlètes se sont surpassés et ont obtenu des meilleurs résultats. »
Sur l’échiquier international :« Sur le plan international, le président a pour objectif une position dans les compétitions internationales, malgré l’absence de quelques athlètes pour de diverses raisons » déclare le Président.
Chez les seniors, Jean-Claude Pooda fini sur le podium avec un temps de 10.5 au 100 m, suivi de Yao Kouamé Mardoché 10.6 et Sanogo Hamidou 10.7. 
L’athlète le plus rapide au 200 m, fut Adzeu Yapo Jacky Ulrich 21.2, Yao Kouamé Madoche se positionne à la 2e place avec un chrono de 21.5 et Jean-Claude Pooda à la 3e place 21.8 . Au 400 m, Adzeu Yapo Jacky Ulrich termine la course en 48.3 devant Kra Kouakou et Kansaye Bakary.