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Quelle est la nouvelle vision de la banque mondiale dans la perspective du développement durable ? Quels sont ses objectifs ? Quel est cadre environnemental et social de financement des projets? Comment communiquer efficacement sur les questions environnementales et sociales ou quel système de partenariat avec les médias en Côte d'Ivoire sur ces mécanismes environnementaux et sociaux ? Tels sont les différentes préoccupations qui ont meublé l'atelier d'information et de renforcement organisé à l'intention des journalistes, le mardi 9 mai, au siège de la Banque mondiale à Cocody.


Alphonse Edamak (au centre), Enoh N'Dri N'Guessan (à dr) et Salamata Bal (à g) de la BM, ont expliqué le mécanisme de financement des projets  lors de l'atelier
Alphonse Edamak (au centre), Enoh N'Dri N'Guessan (à dr) et Salamata Bal (à g) de la BM, ont expliqué le mécanisme de financement des projets lors de l'atelier
Ils étaient environs 20 journalistes des radios et de la presse numérique conduits par le président de la presse numérique de Côte d'Ivoire ( Pnci), Joël Nianzou, qui ont pris part à cet échange avec les experts de cette institution mondiale. D'entrée, le responsable des relations extérieures, Enoh N'Dri N'Guessan, lui-même journaliste de formation, a situé les enjeux. " La banque mondiale s'est démarquée de son attitude prescriptive (dikta) pour être participative. Aussi la presse joue t elle un rôle central dans le système de la Banque mondiale. Il n'est pas question de financer un quelconque projet aujourd'hui qui ne prenne pas en compte la dimension environnementale et sociale. Nous avons donc besoin de vous pour mieux diffuser les mécanismes environnementaux et sociaux d'atteinte des objectifs de développement durable, tels que souhaités par la Banque mondiale", indique le responsable de la communication de cette institution. Il ressort de la brillante présentation faite par Mme Assiata que la Banque mondiale dont la principale mission est de lutter contre la pauvreté et de partager la prospérité, constitue le premier bailleur technique et financier de la Côte d'Ivoire et le premier partenaire en Afrique et dans le monde. Elle fonctionne selon 5 institutions dont la Bird destinée à réduire la pauvreté dans les pays en développement et Ida qui a pour objectif de mettre fin à l'extrême pauvreté et promouvoir une prospérité partagée a travers l'octroi des prêt à taux très faible ( 3 % avec un délai de remboursement de 30 ans et un délai de grâce de 10 ans). En effet, pour ce qui concerne la Côte d'Ivoire, cette institution finance 36 projets dont 30 nationaux et régionaux, le tout pour un montant global de 6, 104 milliards de dollars. Les 30 projets nationaux d'un coût de 5, 640 milliards de dollars (2769 milliards de F) et les 6 projets régionaux d'un coût de 461 millions de dollars (275 milliards de F). A ce jour, 2,238 milliards de dollars sont déjà décaissés. Reste disponible 3, 847 milliards de dollars. Ces financements de fonds dans 4 secteurs notamment dans le développement humain ( éducation, santé...,) pour 1, 393 milliards de dollars, l'économie pour 1,115 milliards de dollars, les infrastructures (6 projets) pour 1,6 milliards de dollars et le développement durable ( 10 projets) pour 1,724 milliards de dollars.

Les journalistes conviés à cet atelier sont répartis très satisfaits
Les journalistes conviés à cet atelier sont répartis très satisfaits
Dans leurs exposés sur le cadre environnemental et social ( Ces), les experts Alphonse Emadak et Salamata Bal ont situé que la première cible de la Banque mondiale est la communauté. Pour ce faire, la Banque mondiale organise une mission de terrain pour identifier les conventions du projet. Par la suite, un plan d'engagement environnemental et social est établi. Il comprend 10 normes. Ce sont : 1 - L'évaluation et gestion des risques et impacts environnementaux et sociaux ( élevé, substantiel, modéré, faible), 2- L'emploi et conditions de travail (gestion des plaintes), 3- L'utilisation rationnelle des ressources et prévention et gestion de la pollution, 4- La sécurité et la santé des populations ( dangers, risques, maladies transmissibles, hydriques...), 5-L'acquisition des terres et restrictions à l'utilisation des terres et réinstallation forcées ( déplacement physique, perte de logements...), 6-La préservation de la biodiversité et gestion durable des ressources naturelles biologiques( compensation écologique, habitat critique, espèces menacées...), 7- Les communautés locales traditionnelles d'Afrique subsaharienne historiquement défavorisées, 8- Le patrimoine culturel (pratiques culturelles et archéologiques), 9-Les intervenants financiers ou intermédiaires, 10-La mobilisation des parties prenantes et formation. Il convient de signaler que sur ces 10 normes, la première liée à la gestion des risques et les impacts environnementaux et sociaux ainsi que la dernière relative à la mobilisation des parties prenantes sont sine qua non au financement des projets. Comme on le voit, le financement des projets repose essentiellement sur le cadre environnemental et social. " Le dikta est fini. La Banque mondiale veut ramener le taux de la pauvreté de 21 % à 3 % d'ici 2030 et partager la prospérité pour l'amener à 40 %. Elle repose sur 5 piliers ou valeurs, à savoir, l'impact, l'intégrité, le respect, le travail d'équipe et l'innovation.

Joël Nianzou, président de la Pnci encourage les journalistes à accompagner la Banque mondiale dans sa nouvelle vision
Joël Nianzou, président de la Pnci encourage les journalistes à accompagner la Banque mondiale dans sa nouvelle vision
Pour Joël Nianzou, président de la Presse numérique de Côte d'Ivoire (Pnci), cet atelier avec la Banque mondiale est un bon indicateur qui permet aux journalistes de savoir que cette haute institution mondiale est très sensible sur les questions environnementales et sociales. " Ce séminaire nous a permis de comprendre les 10 normes à respecter pour le financement des projets à la banque mondiale. C'est donc comprendre que la protection de l'environnement constitue le baromètre des financements par la Banque mondiale", a félicité le premier responsable de la Pnci qui encourage les journalistes de sa faîtière à communiquer efficacement et suffisamment sur les missions et les activités de la Banque mondiale pour le bien être des populations.

Politique environnementale et sociale de la banque mondiale/ Voici les 10 normes de financement des projets
Il convient de noter qu'à l'issue de cet atelier, les différents journalistes ont reçu des attestations de participation. N

Une journaliste participante brandissant fièrement son attestation de participation
Une journaliste participante brandissant fièrement son attestation de participation
Norbert Nkaka


Mercredi 10 Mai 2023 | Commentaires (0)

La compagnie d'exploitation pétrolière et gazière Foxtrot international a remis aux populations du département de Jacqueville, 31 projets sociaux réalisés, pour un coût de plus d'un milliards de F. C'était le jeudi 5 mai.


M. Jean Michel Bonnet, directeur général de Foxtrot international
M. Jean Michel Bonnet, directeur général de Foxtrot international
Des logements pour enseignants et infirmiers, des écoles maternelles, des salles de classes, la réhabilitation des centres de santé, la réalisation de pompes villageoises, la construction de magasins, la fourniture d'équipements et de matériels médicaux, construction de foyer de jeunes...telles sont les nombreuses réalisations ( 31 )entreprises par la compagnie gazière Foxtrot international aux villages de Adessé, Ahua, Avagou, M'Bokrou, Abréby, Adjacoutié, Adjué, Addah, Djacé, Akrou, Adoumagan, Avadivry, Taboutou, Grand Jack, pour ne citer que ces localités. Ces ouvrages réalisés dans la période de 2019 à 2022 ont coûté la bagatelle de plus d'un milliard de F avec un financement records en 2022 estimé à plus de 460 millions de F. Il est vrai , en tout cas, au dire des populations représentées par la chefferie, que les besoins des populations sont énormes, allant des infrastructures routières, sanitaires, en hydraulique aux infrastructures éducatives, toutefois, elles reconnaissent les efforts consentis par Foxtrot international pour assurer le bien- être des populations par le truchement du conseil pétrole-gaz. " Les besoins des populations sont énormes et se chiffrent à plusieurs milliards de F. Mais nous sommes reconnaissants de tout ce que vous faites. N'écoutez pas les oiseaux de mauvaise augures. Le conseil pétrole-gaz continue de négocier pour un mieux être des populations", a signifié le sénateur Bombro Lézou Francis, par ailleurs le président par intérim du conseil pétrole-gaz. Mais avant lui, le maire a longuement adressé des lauriers au directeur général de Foxtrot international. " Vous êtes un partenaire privilégié de Jacqueville", estimant que cette cité mérite beaucoup de l'État ivoirien eu égard aux énormes potentialités pétrolières et gazières dont elle dispose.

Les chefs de villages ont reçu la clé symbolique de leurs projets sociaux
Les chefs de villages ont reçu la clé symbolique de leurs projets sociaux
Prenant la parole, le directeur général de Foxtrot international, Jean Michel Bonnet a indiqué que la réalisation de ces projets répond bien à leur volonté de participer à la gouvernance sociétale et environnementale. " Nous avons un contrat avec l'État. Celui de réaliser des œuvres sociales. Nous avons voulu faire face aux besoins les plus urgents présentés par la direction générale des hydrocarbures (Dgh)", a signifié Jean Michel Bonnet, révélant que l'entreprise gazière Foxtrot fournit plus de 70 % de l'électricité en Côte d'Ivoire. Le porte parole de l'association des chefs de villages et chefs de terre, Ponge, a tranché que Foxtrot international est de loin, la seule entreprise pourvoyeuse des ressources ayant permis la réalisation des projets sociaux dans le département soit 80, 95% des oeuvres réalisées. C'est pourquoi les populations interpellent vivement la Pétroci et surtout l'entreprise pétrolière Canadian National Ressources ( CNR) à emboîter le pas à Foxtrot international afin d'assouvir pleinement leurs nombreux besoins.

Les chefs de villages heureux à côté de député et du maire de Jacqueville
Les chefs de villages heureux à côté de député et du maire de Jacqueville
Norbert Nkaka


Dimanche 7 Mai 2023 | Commentaires (0)

Le député de Jacqueville/Attoutou, Lobo Anké Léon agacé par les fausses accusations selon lesquelles il aurait détourné les fonds alloués au conseil pétrole-gaz dont il était président de 2013-2020, s'est " vidé", le vendredi 5 mai à l'occasion d'une cérémonie organisée par une compagnie gazière et pétrolière à Jacqueville.


Le député Lobo Anké Léon, ex président du conseil pétrole-gaz
Le député Lobo Anké Léon, ex président du conseil pétrole-gaz
Le 5 mai, la compagnie d'exploitation de gaz et de pétrole Foxtrot organise une cérémonie de remise des projets sociaux qu'elle a financé aux populations villageoises. Cela en présence des responsables de Pétroci, de la direction générale des hydrocarbures (Dgh), des cadres et surtout des chefs des villages et de terres venus des contrées du département. L'occasion était donc belle pour le député de la circonscription de Jacqueville/Attoutou, Lobo Anké Léon, de rétablir toute la vérité. De fait, pendant la durée son mandat, l'ex président du conseil pétrole-gaz qu'il était, avait été l'objet de critiques sévères sur sa gestion que certains jugeaient opaque. D'autres détracteurs avaient même menacé de diligenter un audit sur la gestion de ce conseil, car selon eux, le collaborateur du maire de Jacqueville " s'était bien rempli les poches avec les millions de F octroyés par les exploitants de gaz et de pétrole". En réalité, il n'en est rien. En effet, au cours de cette importante cérémonie, l'honorable député Lobo Anké Léon dont on connaît le franc parler, a préféré laver le linge et le sécher en plein soleil, devant les chefs de villages. " A ceux qui ne le savent pas, le conseil pétrole-gaz est un interface entre les pétroliers, l'État et les populations. Chaque année, les populations présentent des projets selon leurs besoins. Le conseil pétrole-gaz les transmet aux responsables des pétroliers et une étude est faite entre la concordance et le coût. Suit un appel d'offres. Le président du conseil pétrole-gaz ne voit pas l'argent mais les projets. Je n'ai jamais reçu 5 F encore moins un bon de carburant d'une quelconque compagnie d'exploitation pétrolière", a t il longuement expliqué le fonctionnement du conseil pétrole-gaz. Il sera complètement blanchi par le premier responsable de Foxtrot, Jean Michel Bonnet. " Effectivement, nous ne donnons pas de l'argent aux responsables du conseil pétrole-gaz. C'est nous qui finançons les projets selon des critères bien déterminés", a t il clarifié pour mettre fin aux supputations. Notons que chaque année, ce sont environs 300 millions de F de projets sociaux que les compagnies pétrolières octroient au conseil pétrole-gaz, une structure créée en 2009 sous la pression des villageois.

L'honorable Lobo Anké Léon s'est complètement blanchi devant les chefs de villages
L'honorable Lobo Anké Léon s'est complètement blanchi devant les chefs de villages
Il convient d'indiquer que le sénateur Bombro Lézou Francis assure la présidence par intérim du conseil pétrole-gaz. Norbert Nkaka


Dimanche 7 Mai 2023 | Commentaires (0)

A l'occasion de la célébration de la 30 ème édition de la journée mondiale de la liberté de la presse, le mercredi 3 mai, le président de l'Union des journalistes de la presse libre africaine ( Ujpla), Noël YAO a délivré un important message. Nous vous livrons l'intégralité de sa déclaration.


M. Yao Noël, président de L'Ujpla
M. Yao Noël, président de L'Ujpla
Du Burkina Faso au Mali, du Bénin au Sénégal et à la Mauritanie, du Togo à la Guinée, de la Côte d’Ivoire au Ghana et au Liberia, du Soudan au Maroc et à l'Algérie, du Kenya au Zimbabwe, etc, des journalistes sont menacés, emprisonnés ou portés disparus. Nombre d'entre eux n'ont aucune sécurité personnelle, physique, matérielle ou morale, etc. En cette 30e célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse qui a été conçue depuis les terres d'Afrique ( Namibie), L'UJPLA ( Union des journalistes de la presse libre Africaine) créée sur le sol africain ( Côte d’Ivoire) composée d'africains, animée et dirigée par des africains, voudrait appeler solennellement au respect scrupuleux et résolu de la liberté de la presse, de la sécurité physique, corporelle, de la vie sociale ,économique , culturelle et politique des hommes et femmes des médias partout sur le continent africain. En cette journée spéciale, l'UJPLA réitère et réaffirme son engagement et sa détermination à défendre bec et ongles la liberté de la presse et la sécurité des journalistes. Pour cette 30e journée mondiale de la liberté de la presse, l'UJPLA lance ce slogan : " GUERRE A LA GUERRE CONTRE LES JOURNALISTES " .partout sur le continent africain. Pour L'UJPLA, il s'agit de contrer et combattre tous les prédateurs de la liberté de la presse. L'UJPLA souligne et précise que ce combat ne sera efficace que si les journalistes eux-mêmes sont irréprochables et sont mûs par un professionnalisme vrai, rigoureux et constant c'est-à-dire l'exercice de leur métier dans la liberté, le respect scrupuleux des règles et principes déontologiques dans la responsabilité et la légalité. Enfin, l'UJPLA estime que seule une presse africaine libre et crédible pourra contribuer à la renaissance et au repositionnement international de l'Afrique sur la base de sa souveraineté et de son intégration réelle, totale , positive et constructive. Bonne célébration de la 30e journée mondiale de la liberté de la presse à tous les hommes et femmes des médias d'Afrique et du monde. ----------

Le président de L'Ujpla, Noël YAO


Jeudi 4 Mai 2023 | Commentaires (0)

La célébration de la 30 ème journée mondiale de la liberté de la presse en Côte d'Ivoire, le 3 mai a donné lieu aux acteurs des médias de vider leurs larmes face à la misère qu'ils vivent au quotidien. Le porte-parole de l'intersyndicale du secteur des médias de Côte d'Ivoire (Ismci), Sam Wakouboué, a mis au grand jour, la houle dans laquelle sombre la presse ivoirienne. Il demande à l'État de consacrer 13 milliards de F de son budget pour sauver les meubles.


M. Sam Wakouboué, porte parole de l'Ismci
M. Sam Wakouboué, porte parole de l'Ismci
Peut- on parler véritablement de liberté de la presse en Côte d'Ivoire quand on voit les maisons de la presse s'effondrer avec leurs journalistes dedans? En tout cas le discours très émouvant et touchant du porte- parole de l'Ismci, Sam Wakouboué, a fait exploser plusieurs boules dans le ventre des nombreux journalistes présents. Et la vapeur qui en sortait était suffocante et nauséabonde. Le discours de Sam Wakouboué n'était guère une dictée préparée encore moins cette réthorique servie aux grands chefs lors des cérémonies classiques. Mais plutôt la synthèse de ce que vivent réellement les journalistes et les maisons des médias. Pour paraphraser l'un des plus grands artistes reggae ivoiriens Tiken Dja Fakoly, " la presse va mal!". Et Sam Wakouboué a eu la sincérité de le traduire, de le faire sentir, de le faire vivre... Ce n'est pas un secret, les journalistes mal payés, il y en a beaucoup. La chute drastique des chiffres de vente, c'est quotidien. Les contrats non respectés, on n'en parle pas. Les arriérés de paiement des salaires, ho là là !!! Comment dans ces conditions, peut on parler de liberté de la presse ? C'est là le noeud gordien! De fait, l'intervenant du jour n'a rien laissé de côté, en ce qui concerne les journalistes... même ceux de la maison bleue (Rti), qu'on appelle abusivement " les enfants gâtés" parce que bénéficiant du reversement (?) de la redevance, sont aussi fortement touchés par " l'automne de la presse ivoirienne". " Pour le compte de sa politique salariale, la Rti a mis en place une nouvelle grille salariale, dite grille des métiers. Lors de la translation vers cette nouvelle grille, près de 385 travailleurs ont subi la réduction ou la disparition de la ligne sursalaire. Cette action brusque a occasionné une perte d'environ 18 millions de francs/mois. Démotivés et révoltés, les camarades demandent le rétablissement de leurs sursalaire acquis depuis plusieurs années suite au blocage des avancements indiciaires à la Rti", dévoile le porte-parole qui dénonce plusieurs incongruités dans la gestion de ce médias d'État. La situation à Fraternité Matin n'est pas non plus reluisante, malgré le redressement économique en 2018. " Les difficultés ont refait surface. Le grand retard du paiement des salaires, le non paiement des passifs des travailleurs, le non reversement des précomptes au titre du prêt scolaire...", révèle Sam Wakouboué. Selon lui, tous ces maux trouvent leur encrage dans l'augmentation du coût d'impression, la suspension de la subvention à l'impression des journaux pourtant liée à l'application de la convention collective des salaires des journalistes, les effets désastreux de la Covid-19, la dette fiscale, la faillite d'Edipresse, la fermeture des organes de presse par l'Anp... Au demeurant, les quelques actions positives de l'État, notamment la livraison de la salle de conférence de la maison de la presse d'Abidjan, la libéralisation de l'espace audiovisuel avec l'octroi de la licence de diffusion à plusieurs chaînes de télévision et la suppression des peines privatives de liberté pour les délits de presse ne sauraient éclipser les nombreux problèmes des médias. C'est pourquoi le porte parole estime que le gouvernement ivoirien doit accorder une aide substantielle pour sauver le secteur des médias. Selon lui, le décaissement annuel de 13 milliards de francs, soient 0,01 % du budget pourrait constituer une bouffée d'oxygène en plus d'autres actions en faveur du secteur des médias. "La mise en place urgente de ces mesures pourrait assurer la vitalité économique des entreprises des médias", signifie t il. Il convient de signaler que cette 30ème journée mondiale de la liberté de la presse avait pour thème : " Façonner un avenir de droits: la liberté d'expression comme moteur de tous les autres les autres droits de l'homme".

Norbert Nkaka


Jeudi 4 Mai 2023 | Commentaires (0)
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CAN 2023 : Stade de la paix de Bouaké
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