Un parcours exemplaire au service de la santé publique
 

Fort de 27 années d’expérience en santé publique, Dr Yao a mené une carrière marquée par un engagement constant dans les urgences sanitaires et les interventions humanitaires. Il débute en 1995 au sein de l’équipe d’urgence de la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire, avant de coordonner le programme de santé pour les réfugiés jusqu’en 1999.

Leadership et reconnaissance internationale
 

Depuis juillet 2017, Dr Yao a été Chef du Programme des opérations d’urgence de l’OMS pour la Région africaine, avant d’accéder en août 2020 au poste de Directeur des opérations sanitaires stratégiques de l’OMS. En 2018, il a été distingué par le Prix du Directeur général de l’OMS pour ses actions dans les opérations d’urgence.

Edithe Nguekam.

Une reconnaissance unanime
Ravies de cet élan de solidarité, les bénéficiaires n'ont pas manqué d'exprimer leur gratitude envers Mme Diety Edwige et M. Dely Mamadou. « Ce soutien est une bouffée d'oxygène pour nous. Il nous permettra de renforcer nos activités agricoles et d'améliorer nos conditions de vie », a confié l'une des femmes présentes.
Cet appui marque une nouvelle étape dans les efforts de la Fondation KED en faveur de l'autonomisation des femmes rurales et témoigne de son engagement pour le développement économique local.


Reportage de MAMO WONSSEUYANOU, Correspondant local Abidjan4all

Il était écrit quelque part que le vendredi 14 mars serait très cauchemardesque. Un " Black friday ", dirait-on. Car outre l'effroyable collision qui a fait 3 tués dont un bébé et de nombreux blessés sur le pont de Moossou, non loin de Grand-Bassam, une autre collision tout aussi tragique s'est produite dans la cité du Léboutou, faisant un tué. Il s'agit d'un certain Mel Gnagne Jean Luc, plus connu sous le pseudonyme de Kaléro. Mais comment ce drame est il arrivé ? Selon des proches de la famille du défunt, le jour des faits, le jeune fermier originaire du village d'Okpoyou, décide de prendre part à une veillée funèbre dans le village de Gbougbo. Il sollicite l'engin d'un ami qui ne fait aucune résistance. Une fois à Gbougbo, tout se passe bien. La nuit est bien arrosée( nourriture, boisson alcoolisée). Il est 4 heures quand Kaléro quoique quelque peu éméché, a quand même des ressources pour regagner son village situé à 25 km de Dabou. D'ailleurs, il doit regagner son village avant le jour afin de s'offrir un repos mérité. Profitant donc de l'air frais à cette heure, il se lance sur cette route truffée de nids de poule. Après 15 km de route, le jeune Jean Luc à bord de l'engin dévalait une descente. En face, un véhicule qui tente d'éviter justement un nid de poule. Rien à faire ! La moto et la voiture se rentrent dedans de façon frontale. Mel Jean Luc est alors projeté dans les airs avant de s'écraser lourdement face contre terre. Victime de plusieurs fractures et des ouvertures au visage, le motocycliste est très mal. D'ailleurs il se vide de son sang. Les sapeurs-pompiers alertés l'évacuent d'urgence à l'hôpital. Malheureusement, le jeune fermier succombe à ses graves blessures. Une mort qui a plongé tout le village d'Okpoyou dans la consternation.

Norbert Nkaka

C'est sur tiktok que la jeune banquière raconte sa mésaventure, qui sonne comme un message retentissant à tous les friands de l'aventure. Selon cette dame qui continue de pleurer son sort, elle a aurait été contactée par un homme qui lui aurait promis mieux en Europe, c'est à dire un boulot plus rémunérateur que celui qu'elle exerçait dans son pays. Elle mord alors à l'hameçon sans hésiter. Quelques mois plus tard, celle-ci rend sa démission. Puis elle vend tous ses biens. Avec cette cagnotte, elle effectue le voyage en Angleterre. Mais une fois là- bas, cette dernière se rend compte qu'elle a été flouée. En lieu et place d'un job florissant, la jeune ex banquière devient finalement une femme de ménage. C'est le choc. Mais il est trop tard. Totalement désemparée celle ci a laissé un message au Président du Ghana afin que quelque chose soit fait et qu'elle retourne à son pays d'origine. Et qu'elle retrouve son service aussi. Est-ce possible ? Voilà où l'aventure pourrait nous mener.

Norbert Nkaka

Les remblayages non autorisés, le gouvernement n'en veut plus.Le vendredi 14 mars, les éléments de la Direction générale des affaires maritimes et portuaires ( Dgamp) ont effectué une descente dans la zone de Marcory-Biétry. Cette descente, à en croire des responsables de ce service, fait suite aux instructions données au directeur de la Dgamp, le colonel -major Julien Yao Kouassi par le ministre délégué auprès du ministre des Transports, chargé des Affaires Maritimes, d'empêcher les remblayages anarchiques. En effet, depuis sa nomination à la tête des Affaires Maritimes, Dr Serey Doh ne ménage aucun effort pour freiner ce phénomène de remblayage clandestin.

Ainsi donc sous la conduite du Lieutenant-Colonel Dougone Serge, Directeur de la Police Maritime et de la Logistique Navale et de son sous directeur, Abeh Sylvestre, une équipe de contrôle composée des agents de la brigade spéciale de lutte contre le remblayage clandestin menée par le lieutenant Dézaï Alain Serges s'est rendue sur le terrain. Le périmètre lagunaire et terrestre ont été savamment bouclés afin d'empêcher toutes activités dans ce secteur. Au cours de cette mission, l’équipe a repéré huit (08) dragues.

Il convient de noter que le phénomène des remblayages anarchiques constitue un désastre environnemental de grande empleur. Aussi des mesures ont elles été prises visant à stopper les activités de remblayage en cours mais aussi prévenir toute reprise des travaux. Cette opération ira jusqu'au retrait de tous les documents administratifs des propriétaires des engins en activité et l’interdiction formelle de reprise des travaux sous peine de sanctions sévères. Toujours selon des sources, ces contrôles de sites de remblayage ne visent pas que la commune de Marcory. Elles s'étendront au grand Abidjan afin d’endiguer la recrudescence de ce phénomène aux conséquences écologiques environnementales incalculables. Car ces remblayages sont souvent effectués pour étendre artificiellement des terrains ou masquer des déchets plastiques.

Norbert Nkaka