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Le président de l'ordre des architectes de Côte d'Ivoire, Pca de l'Ecole d'architecture d'Abidjan (Eaa) et le président de l'Université de Bondoukou ont signé deux conventions cadre, l'une avec l'ordre des architectes et l'autre avec l'Eaa, permettant ainsi aux étudiants de renforcer leurs connaissances et d'intégrer l'ordre des architectes aprres la formation. C'était le mercredi 2 avril en présence du directeur de cabinet de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Pr. Arsène Kobéa.


L'EAA et l'Université de Bondoukou ont signé une double convention cadre
L'EAA et l'Université de Bondoukou ont signé une double convention cadre
L'école d'architecture d'Abidjan ( Eaa) a été approchée par le premier responsable de l'Université de Bondoukou, Pr Ouattara Djakalia afin de distiller son expertise en matière de formation en architecture. Aussi projette t il la possibilité pour ces étudiants d'integrer l'ordre des architectes de Côte d'Ivoire, après l'obtention de leurs diplômes. D'où la signature d'une double convention cadre. L'opportunité sera donc donnée aux jeunes étudiants de l'école d'architecture et de l'urbanisme de Bondoukou de paufiner leur formation à travers des stages. Cette convention portera entre autres sur les échanges pédagogiques et scientifiques mais aussi sur un partage d'expériences. " Nous voulons former des architectes de qualité et développer des innovations. Mais mieux, l'architecte n'a de crédit que lorsqu'il est inscrit à l'ordre des architectes. C'est dans ce cadre que nous voulons nous frotter à l'Eaa afin de bénéficier de son expertise ", a signifié Pr Ouattara Djakalia, président de l'Université de Bondoukou qui a profité de cette occasion pour rassurer les responsables de l'Eaa quant aux critères de sélection et surtout la rigueur dans la formation des étudiants de l'école d'architecture et de l'urbanisme de Bondoukou.

Signature de Convention cadre/ L'école d'architecture d'Abidjan ouvre ses portes à l'université de Bondoukou
De son côté, Joseph Amon, président de l'ordre des architectes et Pca de l'Eaa s'est réjoui de cette collaboration qui intervient moins d'un an après l'inscription des architectes sortis de l'Eaa au niveau des tableaux de l'ordre. " Nous sommes satisfaits de l'étroite collaboration entre l'Ordre des architectes et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et par ricochet, l'université de Bondoukou. Nous voulons des architectes de qualité mais aussi en quantité car le besoin est crucial. Nos locaux vous sont ouverts ", a confié Amon Joseph.

Signature de Convention cadre/ L'école d'architecture d'Abidjan ouvre ses portes à l'université de Bondoukou
Au nom du ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le directeur de cabinet, Pr Kobéa Arsène a insisté sur les réelles motivations de la signature de cette convention cadre. " La vision du président de la République Alassane Ouattara est de mettre en place une politique de décentralisation et de spécialisation des écoles de recherches. D'où l'ecole d'architecture et de l'urbanisme de Bondoukou. Nous devons sortir de l'informel à travers l'ecole d'architecture. L'école d'architecture d'Abidjan étant une référence, nous estimons qu'à travers cette convention, nous pourrons à la longue, répondre aux besoins des populations. La Côte d'Ivoire fait face à un taux de croissance démographique de 2,8 %. Aussi nous constatons avec stupéfaction, les effondrements d'immeubles un peu partout en Côte d'Ivoire. Cela nous interpelle d'autant qu'il est impérieux de former des architectes en quantité suffisante de sorte à freiner ce phénomène tragique", a expliqué Pr. Arsène Kobéa qui a également souhaité que cette convention soit un véritable d'échanges.

Signature de Convention cadre/ L'école d'architecture d'Abidjan ouvre ses portes à l'université de Bondoukou
Notons que l'Université de Bondoukou ouverte en 2022 compte une centaine d'étudiants en architecture et en urbanisme.

Norbert N'Kaka


Jeudi 3 Avril 2025 | Commentaires (0)

Sangaré Moustapha, officier de police en service à la Police recours, s'est tiré une balle dans la tête, ce lundi 31 mars aux environs de 10 heures, en plein service.


Drame à Abidjan/ Un officier de police se donne la mort en plein service.
Un fait curieux mais tragique a secoué la commune de Cocody, ce lundi 31 mars, précisément au Carrefour Duncan. Selon des sources relayées par le confrère informateur.ci, sans qu'on y comprenne, l'officier de police qui avait pris place à bord du véhicule de service, a subitement sorti son arme et "Bang ! ", le coup part. Son collègue de service assis à côté, est pris de panique. Mais il est trop tard. L'officier succombe aussitôt. Alertés, le préfet de police d'Abidjan accompagné du directeur de la police criminelle se sont rendus précipitamment sur les lieux du drame. Une enquête est ouverte pour savoir les circonstances réelles de ce suicide qui en rajoute sur ce phénomène en Côte d'Ivoire. Car cela fait un peu trop, le phénomène des suicides qui défraie la chronique : étudiants, gendarmes, policiers étant les plus concernés. Un drame qui survient au lendemain de la fête du Ramadan.

Norbert Nkaka ( Source : informteur.ci)


Lundi 31 Mars 2025 | Commentaires (0)

Le corps sans vie d'un adolescent d'environs 15 ans a été retrouvé dans les broussailles non loin du village de Samahoulé dans la sous préfecture de Sandougou-Soba ( région du Tonkpi), le mercredi 19 mars. La dépouille a été atrocement mutilée et certains organes emportés.


Le gamin de 15 ans, sauvagement assassiné
Le gamin de 15 ans, sauvagement assassiné
Un meurtre a été commis dans la sous préfecture de Sandougou-Soba, qui plonge encore les populations de Samahoulé dans l'émoi. Koalaga Bangba qui souffle à peine ses 15 bougies a été atrocement tué et mutilé par des ravisseurs qui l'auraient enlevé un jour plus tôt. Parmi ces tristes individus, du moins les présumés coupables, un certain D. A. Mais qu'est ce qui a poussé le criminel présumé à un tel forfait crapuleux et abjecte? Selon les informations sourcées et émanant du confrère ivoir 24.com, tout remonte au mardi 18 mars. D. A. pour des desseins inavoués, sollicite les services de D. A connu sous le pseudonyme de Ezo, se disant féticheur, domicilié à Sandougou-Soba. Ce dernier lui propose alors son "expertise". Mais avant de faire le job, il lui faut un certain nombre de matériels. " Il me faut du sang humain frais et des organes humains. En plus, tu dois fournir 7 noix de cola rouge et tu devras débourser la somme de 5000 f. Je promets qu'en 10 jours seulement, tu obtiendras tout ce que tu désires ", lui aurait promis le fameux féticheur " Ezo". Sans même se poser la question sur la dangerosité d'un telle exigence, approche l'innocent gamin. À ce dernier, il propose de l'accompagner dans la ferme de son père. Mais une fois en chemin, D. A. se jette sur le gamin qu'il parvient à étouffer à l'aide d'un sac de jute. Ayant perdu connaissance, le criminel a le temps de commettre son forfait en lui donnant le coup de grâce à l'aide d'arme blanche. Il recueille du sang et lui ôte les organes sollicités qu'il présente ensuite au démandeur. À 22 heures, les deux se rendent à la rivière pour le rituel. Mais comme on le dit souvent, un crime ne reste jamais impuni. Car moins de 24 heures après ce crime crapuleux, le jeune Koalaga Bangba dont la disparition suscite des inquiétudes est découvert, mais sans vie. Pis, son corps est atrocement mutilé et des organes humains emportés. C'est la stupéfaction générale. Il faut vite mettre le grappin sur les criminel. La brigade de gendarmerie de la localité est appuyée par le sous préfet, Djékou Fayo Léonard, visiblement choqué par ce crime révoltant. D. A. sur qui pèsent de lourds soupçons, est interpellé le mercredi 19 mars. Conduit dans les locaux de la brigade de gendarmerie sous bonne escorte, il avoue son forfait, non sans citer le féticheur D. A. comme le vrai commanditaire. Ce dernier, sentant l'étau se serrer autour de lui, prend la poudre d'escampette. Il est activement recherché.

Le jeune garçon de 15 ans sauvagement assassiné
Le jeune garçon de 15 ans sauvagement assassiné
Norbert Nkaka ( Sources: ivoir 24.com)


Lundi 31 Mars 2025 | Commentaires (0)

Vincent To Bi Irié, l'ex préfet Abidjan et actuel président de l'Ong Aube Nouvelle, s'est rendu dans son ancien établissement, le Lycée Dominique Tiapani de Dabou le vendredi 28 mars, en compagnie d'autres condisciples. Au cours de la rencontre avec les élèves, l'ancien préfet d'Abidjan, a retracé son parcours dans ce prestigieux établissement aujourd'hui defraîchi. Il a aussi raconté sa galère tant au niveau familial qu'à l'école.


Vincent To Bi Irié, ex préfet d'Abidjan
Vincent To Bi Irié, ex préfet d'Abidjan
" Ad augustam per angousta " dit le latin comme pour signifier que rien ne s'obstient dans la facilité. En clair, le parcours de Vincent To Bi Irié, ex préfet d'Abidjan pendant sa vie scolaire n'a pas été aussi rose qu'on puisse le croire. Il n'a pas du tout vécu l'âge d'or. C'était dur ! Très dur même ! Vincent To Bi Irié a relaté sans faux fuyant, mais plutôt avec un enthousiasme teinté d'ironie, son passage à Dabou et singulièrement au lycée Tiapani de Dabou. "J'ai fréquenté le lycée Tiapani. J'ai pratiquement vécu toute mon enfance à Dabou. Mon papa était parmi les plus modestes. J'ai vécu la galère. Je portais des sandales trouées. J'ai même été chassé une fois parce-que je n'avais pas de tenue de sport, faute de moyens financiers. À l'internat, nous dormions avec les moustiques. Les repas qu'on nous servait ne suffisaient pas. Très tard dans la nuit après le contrôle des éducateurs, une autre vie renaissait où nous mangions le "garba et le gari". C'était dur mais on aimait cela", a confié Vincent To Bi Irié.

Vincent To Bi Irié ( Ex préfet d'Abidjan) : " J'ai vécu la galère. Je portais des sandales trouées"
Cela n'a pourtant pas déteint négativement sur son rendement scolaire. Bien au contraire ! " Nos éducateurs étaient très sévères et aucune faute n'était tolérée. Nous respections nos aînés et nos professeurs et encadreurs comme des demi dieux. Nous travaillons bien à l'école et chacun nourrissait de grandes ambitions. Chacun voulait être un cadre dans ce pays. J'avais cette conviction, chacun de nous avait foi en ce qu'il faisait. On s'y est accroché et on a foncé. J'ai compris qu'il faut aimer ce que vous voulez faire. Aujourd'hui, je marche avec les enfants des riches.

Vincent To Bi Irié ( Ex préfet d'Abidjan) : " J'ai vécu la galère. Je portais des sandales trouées"
Dans la vie professionnelle, après un brillant parcours en qualité de diplomate où j'ai parcouru pratiquement 43 pays d'Afrique sans compter les pays d'Europe et d'Amérique, j'ai décidé de retourner pour servir mon pays. Je suis alors nommé assistant au ministère de l'intérieur sous feu Ahmed Bakayoko. C'était très dur mais j'ai accepté travailler à côté d'un grand homme. C'est ainsi que je suis nommé successivement chef de cabinet puis directeur de cabinet. Un peu plus tard, soit le 6 août 2018, le Président de la République me confie la préfecture d'Abidjan ", retrace t il.

Le proviseur du lycée, M. Siriki Diarrassouba
Le proviseur du lycée, M. Siriki Diarrassouba
Au cours de cette rencontre, l'ex préfet d'Abidjan voulait inculquer trois leçons aux élèves, à savoir la foi en ce qu'on fait, l'humilité et la reconnaissance. La foi parce qu'il faut toujours croire en ce qu'on fait. Cela implique la rigueur, la détermination et surtout la conviction. L'humilité implique le respect mais surtout la soumission et l'acceptation et le sacrifice. Enfin la reconnaissance à ceux qui d'une manière ou d'une autre ont permis d'atteindre le sommet. On a toujours besoin du soutien des autres pour mieux avancer. Un retour sur ses traces après 35 ans est une autre forme de reconnaissance. Et ce parcours a profondément ému le proviseur du lycée Tiapani, Siriki Diarrassouba ainsi que les élèves qui ont répondu massivement à cette rencontre. Ces derniers ont plaidé auprès de l'hôte du jour pour que certains bâtiments leur lycée soient réhabilités.

Norbert N'Kaka


Vendredi 28 Mars 2025 | Commentaires (0)

Le village de Kiendi Oualogo, 18 km dans la sous préfecture de Bondoukou, a été le théâtre d'un affrontement sanglant entre les orpailleurs clandestins et des villageois, dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 mars. On dénombre pour l'instant 3 morts ainsi que des blessés.


Bondoukou/Orpailleurs et villageois s'affrontent : 3 morts et des blessés graves.
Le phénomène de l'orpaillage clandestin est déploré un peu partout en Côte d'Ivoire. Aussi les crises récurrentes qui en découlent sont le résultat de la farouche résistance de ces indécrotables orpailleurs. Même les opérations musclées des forces de l'ordre, soldées par la confiscation et la destruction des matériels afférents ne parviennent guère à les dissuader. " Rien ne vaut plus que l'or", a t on coutume de dire. Mais les villageois qui subissent au quotidien les tristes retombées sociales, économiques, sanitaires, sécuritaires et surtout écologiques de cette ruée vers l'or n'en finissent pas de manifester leur ras-le-bol. C'est le cas malheureusement à Kiendi Oualogo. Selon l'Aip, ce sont des coups de feu qui ont déchiré toute la nuit du samedi 15 au dimanche 16 mars entre des membres du comité de veille et les orpailleurs. Ces jeunes "qui ont décidé de prendre leurs responsabilités", ont ouvert les hostilités nuitament pour tenter de déloger " ces hôtes encombrants ". Le bilan est à la dimension de l'ampleur des affrontements: 3 morts ainsi que plusieurs blessés.

Bondoukou/Orpailleurs et villageois s'affrontent : 3 morts et des blessés graves.
La brigade de gendarmerie informée s'est déployée sur les lieux pour un " cessez-le-feu immédiat ". Ensuite, le préfet de la région du Gontougo, Kouadio Gbangbo André et le Secrétaire général de la préfecture, se sont rendus sur les lieux pour apporter leur compassion aux familles endeuillées par cet incident malheureux. Un calme précaire règne désormais dans la localité. Mais des patrouilles renforcées sont organisées pour sécuriser la zone toujours marquée par la présence de ces orpailleurs clandestins. Pour les villageois de Kiendi Oualogo, plus question de la présence de ces orpailleurs clandestins, qui ont tout détruit et souillé les eaux des rivières avec des produits dangereux. "La présence des orpailleurs clandestins dans une région est une véritable catastrophe. Ils creusent des fosses partout, détruisent les plantations et rendent la zone inaccessible à cause des puits, un piège mortel. Que dire des eaux des rivières dans lesquelles ces orpailleurs clandestins déversent le syanure, tuant les poissons et rendant la source imbuvable", déplorait un habitant de Yakassé-Attobrou où ce phénomène a déjà occasionné 2 morts dont un enseignant l'an dernier.

Norbert Nkaka ( Source : Aip)


Mardi 18 Mars 2025 | Commentaires (0)
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