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Seconde Une

La grande pluie qui s'est abattue sur la ville d'Abidjan a encore fait des victimes. On dénombre au moins 6 morts et une dizaine de blessés graves, principalement dans le sous quartier de Mossikro, comme les années antérieures.


Abidjan (Attécoubé) / La pluie fait encore de nombreux  morts à Mossikro/ Une action vigoureuse du gouvernement attendue
Un glissement de terrain suivi d'une épaisse coulée de boue a encore fait des victimes à Mossikro. On parle de 6 morts et des dizaines de blessés graves. 6 personnes piégées par la boue à la suite de la pluie tombée dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 mai, pourrait on lire sur les réseaux sociaux. En effet, parmi les morts provoquées par des inondations et les effondrements, Mossikro, dans la commune d'Attécoubé s'est toujours tristement illustré avec son cortège de morts atroces. On se rappelle qu'en 2020, 2021, 2022 et même les années antérieurs, ce quartier d'Attécoubé a déploré autant de morts suite à des pluies diluviennes. Le gouvernement étant chaque fois et à la même période, amené à voler au secours des sinistrés et porter une assistance sociale et financière.

Abidjan (Attécoubé) / La pluie fait encore de nombreux  morts à Mossikro/ Une action vigoureuse du gouvernement attendue
On se rappelle également que ces populations qui habitent les zones dangereuses et à risque ont été invitées à se relocaliser ailleurs afin d'éviter ce genre de tragédie. Mais curieusement, chaque année c'est dans ce même sous quartier de Mossikro que l'on déplore des morts dans des conditions aussi désastreuses. Alors question : Les populations vivant dans les zones à risque se sont elles effectivement recasées sur d'autres sites ? Pourquoi alors les pluies continuent elles d'endeuiller les populations de Mossikro ? Sans doute la solution définitive serait de raser complètement le sous quartier de Mossikro, le réaménager et le remorceler et reconstruire un nouveau quartier plus viable avec ses commodités afin d'épargner des vies. C'est cet acte fort qu'on attend du gouvernement. Aller pleurer les morts chaque année à Attécoubé pendant les saisons de pluie n'est pas la solutionsolution idoine.

Norbert Nkaka


Mercredi 21 Mai 2025 | Commentaires (0)

Les examens à grand tirage en Côte-d'Ivoire ont débuté le lundi 19 mai 2025 par les épreuves du Cepe et de l'entrée en sixième. Dans la commune de Facobly, le maire Niamké Moïse a fait une surprise aux candidats en leur offrant des repas chauds.


Examen du Cepe/ Un maire offre des repas aux candidats
Ce n'est guère une simple opération de charme ni une action spontanée. Mais plutôt un acte de générosité auquel le premier magistrat de la commune de Facobly, Moïse Niamkey habitue désormais les populations défavorisées. Lors de l'examen du Cepe, l'homme a encore fait parler de lui en permettant à environs 500 enfants de se nourrir décemment. Il en effet offert un repas à chaque candidat. Quoiqu'absent de la ville, il a confié la tâche à son 3ième adjoint, Séa Emmanuel qu'il a chargé de la distribution des plats aux candidats. Cette distribution a débuté par l'école primaire publique de Guézon et a pris fin à l'école primaire privée de la mission protestante. A la fin de l'opération, le maire Séa Emmanuel a donné les raisons de cet acte. " Ce don s'inscrit dans la politique de recherche de bons résultats scolaires. Ces repas, non seulement permettent à ces élèves de rester sur-place à midi mais leur permet de rester concentrés sur leur objectif, qu'est le Cepe et l'entrée en sixième ", a-t-il confié. De nombreux élèves étaient très heureux et surpris de ce geste du maire. Notons que cette opération est à sa première édition. Le maire Moïse Niamké a été élu aux dernières élections municipales de 2023.

Examen du Cepe/ Un maire offre des repas aux candidats
A la fin de l'opération, le maire Séa Emmanuel a donné les raisons de cet acte. " Ce don s'inscrit dans la politique de recherche de bons résultats scolaires. Ces repas, non seulement permettent à ces élèves de rester sur-place à midi mais leur permet de rester concentrés sur leur objectif, qu'est le Cepe et l'entrée en sixième ", a-t-il confié. De nombreux élèves étaient très heureux et surpris de ce geste du maire. Notons que cette opération est à sa première édition. Le maire Moïse Niamké a été élu aux dernières élections municipales de 2023.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Mardi 20 Mai 2025 | Commentaires (0)

Porté à bout de bras par Carole Sanni, présidente de l’UIAFFIF, un projet immobilier inédit réunit plus de 300 femmes de la diaspora ivoirienne autour de la construction de 300 villas à Abidjan. À force de négociations, de persévérance et d’une vision solidaire, cette initiative sociale et féminine redéfinit les codes de l’accès à la propriété en Côte d’Ivoire. Une première qui allie audace, rigueur et sororité.


Carole Sanni, présidente de UIAFFIF
Carole Sanni, présidente de UIAFFIF

 



 

Elles sont plus de 300, venues des associations féminines en France. Elles sont infirmières, fonctionnaires, entrepreneures, mères de famille. Et aujourd’hui, elles sont aussi promotrices immobilières. Car derrière les casques de chantier, ce sont bien les femmes de la diaspora ivoirienne en France, regroupées au sein de l’UIAFFIF (Union Interfédérale des Associations Féminines et des Femmes Ivoiriennes de France), qui construisent 300 villas à Bingerville, dans la banlieue abidjanaise. Un projet qui aurait pu rester un rêve… s’il n’avait été porté avec ténacité par une femme : Carole Sanni.


Lorsque qu'elle présente son projet en 2019, peu y croient. Ni les institutions bancaires, ni les juristes, ni même certains membres de la diaspora. Et pourtant, six ans plus tard, les pelleteuses sont à l’œuvre, les actes notariés signés, les crédits décaissés. Ce retournement spectaculaire, elle le doit à une détermination sans faille, une intelligence stratégique rare et un réseau qu’elle a su activer avec finesse.
 

Face aux lenteurs administratives, aux exigences bancaires, aux complexités du foncier ivoirien, Carole n’a jamais lâché. Elle a su négocier, convaincre, adapter, sans jamais perdre de vue l’objectif : offrir aux femmes de la diaspora une opportunité concrète de devenir propriétaires sur leur terre natale.

Le projet bénéficie d’un financement exceptionnel de 6 milliards de FCFA accordés par la Banque Nationale d’Investissement (BNI). Un prêt structuré, négocié avec précision, sans apport initial – du jamais vu dans ce type d’opération. « Ce que Carole a obtenu, je ne l’ai jamais vu en 25 ans de notariat », a témoigné Maître Assata Sylla, vice-présidente de la Chambre des notaires de Côte d’Ivoire.


Dans son allocution empreinte d’émotion, Carole Sanni a pris soin de remercier chaque acteur clé : le notaire, les juristes, les ingénieurs, les représentants de la BNI, les personnalités qui l'ont accompagné sur le projet, mais aussi les femmes qui ont cru, parfois seules, à ce projet social. Elle, elle en est la générale lucide et inspirante.

Au-delà des chiffres — 300 logements, 8 hectares, 222 000 FCFA par mois sur 15 ans — le projet UIAFFIF est un message fort : celui d’un leadership féminin résolu à rééquilibrer les rapports économiques, sociaux et symboliques. « Ce n’est pas juste une maison qu’on achète, c’est notre place qu’on prend », a résumé une adhérente en joie.


Carole Sanni a su faire de la solidarité un levier d’investissement, de l’épargne une stratégie collective, de la diaspora une force d’action. Son projet a aussi permis d’ouvrir les portes à des offres adaptées, comme le crédit promoteur individuel, ou des modèles de remboursement fondés sur les loyers futurs.


La cité qui sort de terre n’est pas qu’un ensemble résidentiel. C’est une réponse concrète à l’exclusion immobilière des femmes, un modèle de gouvernance participative, et une démonstration éclatante de ce qu’une femme peut accomplir avec du courage, de la méthode et une foi indéfectible.

« Ce que nous avons construit ici, ce n’est pas seulement du béton. C’est une manière d’exister autrement, de décider pour nous-mêmes », conclut Carole Sanni. Et elle a bien raison : en construisant leurs maisons, ces femmes construisent aussi un précédent.

Junior Gnapié



Lundi 19 Mai 2025 | Commentaires (0)

Le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d'Ivoire ( Repprelci), a initié un atelier de formation des médias régionaux ( presse en ligne et radios de proximité), du 15 au 18 mai à Yamoussoukro. L'objectif étant de leur donner des outils et les engager à renforcer la résilience de la société ivoirienne contre les menaces de désinformation et de mésinformation. Dans cette dynamique, les responsables de cette structure
envisagent de lancer un plaidoyer auprès de l'Unesco afin d'insérer l'éducation aux médias et à l'information ( Emi) dans les programmes scolaires et rendre plus efficace, le combat contre le désordre informationnel.


Lutte contre la désinformation/ Le plaidoyer du Repprelci auprès de l'Unesco pour une sensibilisation de masse
Ce sont au total 20 journalistes venus des différentes régions de la Côte d'Ivoire, notamment de Korhogo, de Bouaké, de Gagnoa, de Man, de Bouna, de Dabou, de Soubré, de Dimbokro, de Toumodi, de Divo, de Ferkessédougou, de Yamoussoukro, Tiassalé....et exerçant dans la presse en ligne et les radios de proximité qui ont pris part à cet important atelier. Il s'agissait de leur donner des outils nécessaires sur tout ce qui gangrène l'écosystème des médias afin d'engager les communautés à une lutte résiliente contre le phénomène de la désinformation.

Lutte contre la désinformation/ Le plaidoyer du Repprelci auprès de l'Unesco pour une sensibilisation de masse
Ce n'est un secret pour personne, le phénomène de la désinformation se propage à une vitesse astronomique que les consommateurs de l'information ne savent plus où donner de la tête. Qui dit vrai ? Qui dit faux ? Mais pourquoi une telle propension à intoxiquer les populations? Telles sont les interrogations qui taraudent les esprits. Au cours de cet atelier, le formateur, Sui Kahofi a édifié les journalistes participants sur 3 notions du désordre informationnel, à savoir : la désinformation, la mésinformation et la malinformation. Selon lui, la désinformation est une information délibérément fabriquée de toutes dans l'intention de nuire. Quant à la mésinformation,elle est une fausse information que l'on diffuse dans l'ignorance. Enfin la mal information est une information vraie mais diffusée dans l'intention de nuire ou porter préjudice à un homme ou à une organisation et même à un pays. Comme on le voit, le désordre informationnel perturbe dangereusement l'écosystème des médias vu surtout le nombre des utilisateurs qui croît sans cesse et les moyens financiers et technologiques déployés à cet effet.

Lutte contre la désinformation/ Le plaidoyer du Repprelci auprès de l'Unesco pour une sensibilisation de masse
Comment détecter une fausse information ? Tel était le souci des apprenants. À ce niveau, ils ont bénéficié d'outils technologiques de détection dont le plus connu est la technique de l'image inversée à travers le fact checking. Mais selon le formateur, si la détection de la fausse information est salutaire, il n'en demeure pas moins que le phénomène de la désinformation constitue un réel danger en raison de sa complexité, de sa rapidité et surtout de sa dangerosité. Car une analyse montre que les usagers utilisent parfois les fausses informations soit pour créer le buzz soit pour nuire soit pour plus de like soit pour une attractivité soit même pour manipuler la population. Aujourd'hui, toutes les couches sont touchées par ce phénomène. Aussi les conséquences sont elles multiples et multiformes au plan social, sécuritaire, religieux et politique surtout en période électorale. Et donc la meilleure alternative serait plutôt l'éducation aux médias et à l'informationl'information (Emi) mieux que la répression.

Lutte contre la désinformation/ Le plaidoyer du Repprelci auprès de l'Unesco pour une sensibilisation de masse
Pour le formateur, l'éducation aux médias et à l'information (Emi) apparaît comme un outil phare qui permet d'éviter de partager une information non crédible. Elle nous amène vers le savoir-faire et le savoir-être, à utiliser tous les moyens de validation et de régulation avant de diffuser une information. Les enjeux sont d'ordre pédagogique en ce sens que l'information enseigne, éduque et fait changer les comportements mais surtout une éducation aux médias conduit à l'éthique c'est à dire qu'elle permet d'adopter une posture responsable et citoyenne. En clair, l'Emi développe un esprit plus critique et favorise une formation de citoyens plus éclairés et plus responsables. Elle s'intègre à tous les secteurs d'activité. Au final, cet atelier engage les acteurs à établir un programme communautaire dans sa région en vue d'une formation plus rapprochée sur la désinformation et la manipulation de l'information, la désinformation et les discours de haine venant parfois des États étrangers.

Lutte contre la désinformation/ Le plaidoyer du Repprelci auprès de l'Unesco pour une sensibilisation de masse
L'un des enjeux de cet atelier est l'éducation de masse envisagée par les responsables du Repprelci en vue de lutter plus efficacement contre la désinformation et ses effets néfastes. " C'est suite au regard sur les dégâts de la désinformation que nous avons conçu ce projet qui bénéficie du financement des États Unis. Nous voulons avoir plus d'impacts sur les populations afin de freiner les fake news à travers l'Emi. Nous lançons un plaidoyer auprès de l'Unesco pour insérer cette éducation aux médias et à l'information dans les curricula du ministère de l'Education nationale et de l'alphabétisation. Cela pourrait permettre d'inculquer la notion de lutte contre la désinformation aux enfants dès le bas âge", a formulé Kébé Mamadi, fact checker et chargé des projets au Repprelci.

Il convient de noter que le Repprelci est une faîtière de la presse en ligne créée le 2 septembre 2006. Le présent projet dénommé 3RC bénéficie d'un financement des États Unis. Lancé en octobre 2024, il prend fin en décembre 2025.

Norbert Nkaka

Le ministre délégué auprès du ministre des transports chargé des affaires maritimes, Célestin Serey Doh, a procédé au lancement de la 1ère édition de la campagne nationale de sensibilisation sur la sécurisation du transport fluvio-lagunaire dans le village de Tiaha ( 15 km de Dabou), le lundi 12 mai, en présence du ministre délégué chargé des sports et du cadre de vie Metch Adjé Silas, des autorités préfectorales et des notabilités des 23 villages lacustres impactés.


Le ministre Serey Doh remettant du matériel de sauvetage à la notabilité de Tiaha
Le ministre Serey Doh remettant du matériel de sauvetage à la notabilité de Tiaha
Pourquoi le choix de Tiaha pour abriter cette 1 ère édition ? On se rappelle en effet que le lundi 21 avril dernier, 12 enfants de ce village qui revenaient d'une cérémonie religieuse dans le village voisin de Kaka, à bord d'une pirogue de fortune, ont sombré dans les eaux de la lagune. Une tragédie qui n'en finit pas de secouer non seulement les populations mais aussi le gouvernement ivoirien qui a déployé des moyens colossaux pour enterrer ces gamins, tous des élèves dont la tranche d'âge varie de 6 à 11 ans. .

Dabou/ Tragédie de Tiaha/ Le ministre Serey Doh remet un important lot de matériels de sauvetage aux populations
Pour le ministre chargé des affaires maritimes, ce drame sonne comme une alerte quant à la dangerosité des embarcations de fortune, inadaptées et parfois surchargées. En tout cas, dans son intervention, le ministre Serey Doh n'a pas manqué de déplorer les circonstances de la tragédie de Tiaha. " Pour une embarcation artisanale destinée à la pêche et conçue pour 2 places, ils se sont retrouvés à 16 en plus du conducteur. Au surplus, le moteur déjà défectueux s'est éteint en pleine lagune. Survient alors ce drame que nous pleurons encore. Plus jamais ça ! ", condamne t il. La campagne nationale de sensibilisation sur la sécurisation des transports fluvio-lagunaires est donc une alternative salutaire pour prévenir de telles tragédies. D'ailleurs un projet de navigabilité est en cours. Celui-ci consistera pour la direction des affaires maritimes de veiller aux activités sur les plans d'eau afin d'éviter les surcharges des embarcations, les soumettre au contrôle et à une visite regulière, au mieux, il faut identifier les utilisateurs des embarcations. En attendant la mise en oeuvre de ce projet, le ministre a remis aux villageois, 200 gilets de sauvetage dont 50 pour enfants et 10 bouées.

Dabou/ Tragédie de Tiaha/ Le ministre Serey Doh remet un important lot de matériels de sauvetage aux populations
Avant lui, le directeur général des affaires maritimes, le colonel major Kouassi Yao Julien a promis de mettre toute son équipe en branle pour un meilleur suivi de la navigation sur le plan d'eau lagunaire. " Nous allons mettre tout en oeuvre pour qu'un tel drame ne puisse plus se produire. On ne peut plus accepter que le transport lagunaire se passe au mépris des règles qui régissent les embarcations sur le plan d'eau intérieur. Les navires seront désormais soumis à la visite technique ", a fermement indiqué le Dg de la Dgam. Le ministre délégué des sports et cadre de vie, Metch Adjé Silas a demandé aux populations lacustres de veiller scrupuleusement à leur sécurité sur les plans d'eau. " Après la douleur et les pleurs, place à l'action. Ce drame doit servir de leçon à tous les villages rattachés à la lagune ", a t il conseillé.

Dabou/ Tragédie de Tiaha/ Le ministre Serey Doh remet un important lot de matériels de sauvetage aux populations
Il convient de noter que pour la campagne, 23 chefs de villages lacustres ont été conviés : Tiaha, Kaka, Attoutou, Bodou, Mompoyem, Agnéby, Layo, N'Gatty, Kpass, Gbougbo, Nigui Saff, Nigui Assoko, Niamiambo, pour ne citer que ces localités. La 2 ème étape de cette campagne aura lieu le mardi 13 mai à Adiaké

Norbert Nkaka


Lundi 12 Mai 2025 | Commentaires (0)
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