Dans une présentation, le révérend Sakuwa Steve, directeur du centre de formation Ciel et terre, secteur Afrique de l'Ouest, a largement exposé la structure Mouvement Vert Céleste, créée le 17 février 2016 et dirigée par Dr Hak Ja Han. Selon lui, la Fondation sud coréenne déjà présente dans 16 pays africains dont la Côte d'Ivoire, le Bénin, le Nigéria, le Ghana, le Congo, la Rdc, le Mali, le Cameroun, le Gabon, le Burkina Faso, pour ne citer que ces pays, nourrit la précieuse ambition de donner un visage plus reluisant à l'Afrique. " Ensemble pour une Afrique belle, une Afrique verte. Cela passe par le changement des habitudes des populations vis à vis des déchets. Nous devons réduire les déchets et les déposer au bon endroit", projette t il. Pour lui donc " notre ignorance nous amène parfois à détruire ce qui est vital à l'homme, à savoir son environnement. Il faut donc orienter les africains à contribuer à la préservation de l'environnement ", fait il remarquer tout en indiquant que leur slogan est " Bâtissons une Afrique saine, une Afrique belle ".

Au nombre des activités sur le terrain, la Fondation Mouvement Vert Céleste en compte déjà 230 à travers l'Afrique sur 58 sites. En Côte d'Ivoire, cette structure a déjà organisé le ramassage des ordures dans les communes de Yopougon, Cocody, Bonoua, Gagnoa, Yamoussoukro. En Afrique, plusieurs pays tels que la Rdc, l'Angola, le Sao Tomé, le Gabon... ont été visités. Au total, la Fondation Mouvement Vert Céleste a déjà mobilisé plus de 5000 participants. C'est la preuve que les activités commencent à impacter. Mais les amoureux de la nature entendent aller plus loin encore. Mais comment ?

C'est face à ce paramètre que le révérend a cru indispensable de prendre langue avec l'Ujpag-Ci, une structure qui regroupe plus de 150 journalistes (presse écrite, audio visuelle, presse numérique) disséminés dans presque toutes les régions du pays. Cette structure, à travers ses nombreuses visites sur le terrain, se veut le relais de toutes les actions entreprises par l'État ivoirien à travers les collectivités locales, mais surtout encourager les responsables de ces collectivités ainsi que les autorités administratives au suivi des actions et des infrastructures. Ce sont autant de missions de l'Ujpag-Ci dont l'objectif est d'accompagner les actions de développement pour le bien-être des populations qui ont séduit la Fondation Mouvement Vert Céleste. "Nos objectifs se croisent en ce sens que nous contribuons tous au bien être des populations. Nous pouvons vous accompagner à mieux faire comprendre aux populations, la nécessité de préserver l'environnement en le débarrassant des ordures, sources de maladies", a indiqué le président de l'Ujpag-Ci, Doua Délazer. Aussi le révérend Sakuwa Steve et le président Doua Délazer de l'Ujpag-Ci ont ils convenu de signer dans les tout prochains jours, un partenariat dont le contenu sera clairement dévoilé.

Norbert Nkaka

L'enseignant Liévin Mputu, Chef des Travaux de la Faculté des Sciences Pharmaceutiques à l'université de Kinshasa est mort alors même que ce dernier était en pleine soutenance de thèse. L'information a été donnée par le confrère Election-net.com, ce mercredi 15 janvier. "Ce drame s'est passé à l'Université de Kinshasa au moment où le récipiendaire était en train de défendre sa thèse de doctorat.  Il a succombé en pleine séance de soutenance publique", indique notre source. Le confrère précise que c'est aux urgences de la clinique universitaire, qu'il a rendu l'âme quelques minutes plus tard.

Norbert Nkaka ( Source : élection-net.com)

C’est avec joie et acclamation que les agents des affaires maritimes et portuaires ont accueilli la confirmation de leur Directeur Général, le Colonel Julien Yao Kouassi. En effet, le gouvernement, par la voix du ministre de tutelle, Celestin Serey Doh, a officiellement annoncé la nomination de Julien Yao Kouassi au poste de directeur dénéral des affaires maritimes et portuaires (DGAMP). Les premier mots du nouveau promu, le Colonel Julien Yao Kouassi étaient d'inviter ses collaborateurs à l’union et à la solidarité pour accomplir sa mission. " L’heure est venue pour que nous formions une équipe forte, soudée et compétente telle un commando, pour affronter et relever tous les défis. C’est dans l’union, et non dans des clivages sectoriels, que nous réussirons la mission qui nous est confiée", a-t-il exhorté ses collaborateurs, visiblement ému. Notons que c'est en juin 2020, que le Colonel Julien Yao Kouassi assumait l’intérim de la direction générale des affaires maritimes et portuaires. Sa détermination et son efficacité, ont permis à cette structure d'obtenir des résultats probants dans ce secteur stratégique. Sous son leadership, il a mené d’importantes réformes visant à moderniser et dynamiser les affaires maritimes. Il a notamment œuvré à la dotation des services en engins navals, roulants et bureautiques, renforçant ainsi les capacités opérationnelles de la DGAMP. Il a également initié des projets structurants tels que la construction d’arrondissements et d’antennes, afin d’améliorer la couverture territoriale et l’efficacité des services maritimes sur l’ensemble du territoire. Ce sont donc autant d'efforts et de mérites qui ont valu cette reconnaissance de la part du président de la République Alassane Ouattara. C'est un nouveau challenge qui s'ouvre pour le secteur maritime et portuaire.

Le Colonel Julien Yao Kouassi a exprimé sa profonde gratitude envers le gouvernement pour cette marque de confiance. Il traduit son engagement à poursuivre les réformes et à renforcer le rôle stratégique des affaires maritimes et portuaires dans le développement national. Le ministre délégué, Sérey Doh Célestin a invité le colonel Yao Kouassi Julien à poursuivre son travail dans la rigueur qu'on lui connaît pour l'atteinte des résultats."Oeuvrez pour le bien de la République",a-t-il conseillé. Les passations de charges débuteront le mardi 14 janvier pour s’achever le jeudi 16 janvier.

Norbert Nkaka ( Info : Dgamp)

Le député de la nation a fait un plaidoyer le mardi 07 janvier lors d'un point de presse à Yopougon ( Abidjan). La suppléance parlementaire, instaurée en Côte d’Ivoire par la loi n°2004-495, est un mécanisme important, garantissant la continuité de la représentation en cas de vacance ou d’absence prolongée d’un député titulaire. Toutefois, dans sa mise en œuvre, ce dispositif a confiné les suppléants dans une situation d’invisibilité institutionnelle. Contrairement à d’autres pays, où les suppléants bénéficient d’un cadre légal clair et d’avantages administratifs, leurs homologues ivoiriens n’ont ni rémunération, ni reconnaissance juridique en dehors des rares cas de remplacement effectif.

Pour l’Honorable Kouamé Yao Séraphin, cette situation est une aberration » qui nuit non seulement aux suppléants eux-mêmes, mais aussi à l’efficacité du système démocratique. "Il est temps de rendre sa dignité au député suppléant. Les députés suppléants jouent pourtant un rôle crucial dans la vie politique. En période électorale, ils sont souvent des piliers de campagne pour les titulaires, mobilisant leurs réseaux et leurs moyens pour assurer la victoire. Une fois les élections terminées, ils demeurent les relais locaux, répondant parfois aux sollicitations des citoyens et appuyant les activités des titulaires. Malgré cela, leur travail est ignoré et leur statut reste incertain. Ces élus de la Nation ne peuvent être traités comme des figurants », déclare Kouamé Yao Séraphin. « Ils méritent une reconnaissance institutionnelle à la hauteur de leur engagement. » Face à cette injustice, l’Honorable Kouamé Yao Séraphin propose une série de mesures concrètes pour revaloriser la fonction de député suppléant. On peut citer entre autres la reconnaissance officielle à travers la délivrance d’un passeport de service ou diplomatique et une attestation formelle confirmant leur rôle. Ensuite la compensation financière c'est-à-dire une indemnité forfaitaire ou une allocation, financée par une partie du budget de fonctionnement des titulaires. Et enfin la formation et implication accrue pour une meilleure intégration dans les processus parlementaires pour leur permettre de se préparer efficacement en cas de remplacement. Ces réformes permettraient de renforcer le rôle des suppléants et de garantir leur dignité en tant qu’élus de la Nation. Une lutte pour l’équité Loin d’être une revendication de privilèges, le plaidoyer pour les députés suppléants repose sur des principes d’équité et de justice. « Ce n’est pas un caprice », insiste Kouamé Yao Séraphin. « C’est une reconnaissance de leur rôle dans le maintien de la démocratie et du lien entre le peuple et ses représentants. » Il appelle le Parlement et le gouvernement à agir rapidement pour corriger cette injustice structurelle. « Laisser les suppléants sans statut, c’est mépriser une partie essentielle de notre démocratie », conclut-il.

Alors que les voix s’élèvent de plus en plus pour exiger une réforme, l’Honorable Kouamé Yao Séraphin invite les décideurs politiques à une prise de conscience collective. "Les députés suppléants ne sont pas des seconds rôles. Ils sont des acteurs à part entière, et leur dignité doit être restaurée. Il est temps de corriger cette injustice pour le bien de notre démocratie", lance t il. La balle est désormais dans le camp du législateur pour inscrire cette réforme à l’ordre du jour et rendre à ces élus la place qu'ils méritent.

Réalisé par Sylvère Bossiéhi

La grande mobilisation des acteurs locaux, avec la présence de personnalités éminentes telles que M. Amichia Kouao, 1er adjoint au maire d’Assinie-Mafia et fils du village, ainsi que Nanan Kassi Brou Anoh, Chef du village, et son homologue de NGoakro traduisait l'engouement des populations. Aussi le choix porté sur le journaliste Joël Nianzou, président de la Presse Numérique de Côte d'Ivoire ( Pnci), en qualité de parrain et invité d'honneur de cette cérémonie n'était pas fortuit. Son engagement pour le développement communautaire durable fait de lui un modèle d'exemplarité. Car Joël Nianzou dans cette initiative est bien plus qu’un simple parrain, mais surtout il incarne le modèle d’engagement pour le développement des communautés, un passionné de la question du développement durable. En effet, Joël Nianzou a activement soutenu l’AFHE dans sa démarche d’autonomisation des femmes et de développement économique local depuis plusieurs années. À travers ses actions et son leadership, il contribue de façon significative à la construction de bases solides pour une prospérité partagée.

Dans son discours inaugural, Mme Kacou M’Vla Hélène, présidente de l’AFHE, a souligné l’importance de l’autonomisation des femmes dans la promotion du développement économique et social à Essankro. Elle a mis en lumière plusieurs projets ambitieux portés par l’association, notamment la création d’une plantation de manioc et d’une ferme avicoles. L'objectif étant de répondre aux besoins alimentaires de la communauté tout en générant des revenus durables. C’est dans cette dynamique de développement local que l’initiative "Pensons Développement" a trouvé toute sa place. Joël Nianzou, en tant que promoteur de cette initiative, a présenté son projet comme un cadre collaboratif visant à réunir les acteurs locaux et les citoyens autour de l’idée que le développement durable commence par des actions locales fortes et bien structurées. L’objectif est de promouvoir un développement économique inclusif qui profite à toute la communauté, en plaçant les femmes et les jeunes au centre de cette évolution.

"Pensons développement" n’est pas qu’un simple programme de développement. Il s’agit d’une véritable plateforme de collaboration pour le développement de projets locaux à fort impact où les initiatives communautaires constituent les moteurs du changement. La vision de Joël Nianzou est claire : utiliser les ressources locales et les forces vives des communautés pour impulser un développement durable à l’échelle de l’Afrique. Cela passe par la formation des leaders locaux, le renforcement des capacités des femmes et des jeunes et la mise en place de projets concrets qui répondent aux besoins immédiats de ces communautés tout en offrant des perspectives à long terme. L'initiative se veut également un modèle à suivre pour d'autres communautés africaines, où la solidarité et la coopération locale jouent un rôle central dans la réussite des projets de développement. "Pensons développement" espère ainsi rayonner à travers l’Afrique en encourageant d’autres initiatives similaires, renforçant ainsi l’impact global des actions locales sur le continent. Un Moment de Reconnaissance et d’Hommage Un des moments les plus touchants de cette cérémonie a été la reconnaissance de l’engagement de M. Kouao Amichia, 1er adjoint au maire d’Assinie-Mafia. La présidente de l’AFHE, Mme Kacou M’Vla Hélène, lui a remis un certificat de reconnaissance, en hommage à son soutien constant au développement d’Essankro. Ce geste symbolique a souligné le rôle important de M. Amichia dans la réussite des projets locaux et dans l’impulsion du changement au sein de la commune. Mais l’hommage le plus émouvant a été celui des femmes de l’AFHE et de la chefferie d’Essankro, qui ont honoré Joël Nianzou d’un cadeau royal : une tenue et des sandales de roi. Ce geste symbolique, porté par les autorités traditionnelles et les membres de l’association, visait à désigner M. Nianzou comme fils d’Essankro, une reconnaissance pour son rôle essentiel dans le développement local et communautaire. Cet hommage, empreint de respect et de gratitude, souligne le lien profond entre Joël Nianzou et la communauté d’Essankro, et met en valeur le rôle clé des leaders locaux dans la réussite de tout projet de développement.

La cérémonie du lancement de l’AFHE a marqué une étape importante pour Essankro et ses habitants. L’engagement de Joël Nianzou, à travers son parrainage et son initiative "Pensons Développement", représente un espoir tangible pour l'avenir de la commune et, plus largement, pour l’Afrique. C’est un modèle d’implication et de collaboration qui prône une approche inclusive, solidaire et durable du développement. Dans les années à venir, l’AFHE, avec le soutien d’acteurs comme M. Nianzou, continuera à œuvrer pour l’autonomisation des femmes, le renforcement des capacités locales et l’édification d’une communauté plus forte, plus solidaire et plus prospère. Un futur où l’ensemble des membres de la communauté joueront un rôle actif dans la transformation de leur environnement et dans la construction d’un avenir commun.

Norbert Nkaka